mercredi 13 juin 2012

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Bonjour mes ami-e-s.

Quelques lectures et promenades en-chantées plus tard ...




Force est pour nous de constater qu'il existe quelques points communs entre ce livre récent, publié en 2012, et celui-là, datant de fin 2007 :




A bientôt car ...

A SUIVRE ...

5 commentaires:

  1. Bonjour Agnès

    j'attends la suite ...

    y aurait-il plagiat ?

    A+

    GR

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  2. Ciao Gaétano !

    Mais la suite est rédigée, cher ami; seulement les maisons qui publient à compte d'éditeur ne veulent pas de mon manuscrit; et comme je ne veux plus payer ... Niet Agnès ...

    Ce n'est pas parce que l'on a vécu la même expérience et que l'on a besoin de la raconter que l'on est un copieur.

    Il est bien que Madame de Rabaudy ait eu le courage d'écrire son expérience; elle met ainsi de l'eau à mon moulin.

    Celles et ceux qui méprisent les femmes "sans" et les traitent d'égoïstes, ne comprennent pas que, souvent, elles se sacrifient par amour et respect vis à vis des non-faits.

    Si vous êtes vraiment intelligent, cher Gaétan, vous devez piger.

    Belle journée.

    AG à GR.

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  3. Ave Agnès

    j'aime beaucoup votre
    "Si vous êtes vraiment intelligent, cher Gaétan, vous devez piger."
    Il y aurait comme une pointe de doute que cela ne m’étonnerait point.
    Comme je n'ai lu ni votre ouvrage , ni celui que vous citez , j'ignore tout des motivations des femmes "sans", en fait je pensais simplement que vu votre réactivité vous vous indigniez d'un éventuel plagiat et la suite était non pas la suite de votre ouvrage ,.......... mais une action judiciaire subséquente.
    Voilà , voilou
    c’était tout

    Muxus
    Bon Dimanche

    GR

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  4. Ciao Gaétano !

    Oh mais il y eut totale méprise, cher ami.

    La mère de Martine de Rabaudy et la mienne ont subi des électrochocs (d'où le titre du livre de M de R) à visée psychiatrique, alors qu'elles étaient enceintes de nous.

    Cela veut dire que Martine de Rabaudy et moi-même en avons pris "plein la gueule", avant même de naître.

    De quoi ne pas avoir envie de procréer, nous des filles, risquant de devenir nous-mêmes des utérus gravides mortifères.

    Souvent je dis que j'ai tellement aimé et respecté mes enfants, que je ne les ai pas faits.

    Même si nous n'avons pas eu la même maladie que nos mères "électrochoquées", nous aurions pu la transmettre; on dit parfois que "cela saute une génération"; il était donc sage d'arrêter un massacre programmé.

    La mère de Martine de Rabaudy était beaucoup plus atteinte (psychose maniaco-dépressive sévère) que la mienne.

    Cependant, on ne pratique pas d'électrochocs pour le plaisir. D'autant que là, ce fut sur des femmes enceintes ! Merci pour le foetus ... Mais bon, c'était au moment du babyboom après-guerre ...

    Pardon de ne pas avoir été suffisamment explicite, mais je pensais que vous aviez lu mon ouvrage.

    Pourquoi douterais-je de votre intelligence ? Par contre, je vous demande de comprendre quelque chose de pas facile, alors il faut "voler haut".

    Pokigoù.

    AG à GR.

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  5. Vous devriez lire

    "L’Étoile de ceux qui ne sont pas nés"
    de Franz Werfel

    juif mais auteur du "chant de Bernadette" et époux malheureux d'Alma Mahler

    A+

    GR

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