mercredi 14 octobre 2015

DIEU ET DIABLE EN QUELQUES MOTS.


(Le Bon ? ...).


Bonjour mes ami-e-s.

Sentant ses forces le trahir, un vieil homme aveuglé donne tous ses biens au Diable, ne voyant pas Dieu.

Le Diable, parce qu'il est le Diable, prend les biens et laisse choir son donateur.

Dieu, parce qu'Il est Dieu, recueille l'affaibli et lui rend la vue.

Moralité : Le Bien ne s'intéresse qu'à l'Humain, contrairement au Mal, qui ne s'intéresse qu'aux biens.

A bientôt car ...

A SUIVRE ...


(Le Mauvais ? ...). 

mercredi 7 octobre 2015

FAUX TEMOIGNAGE(S) ECRIT(S) A UNE COUR D'APPEL : DELAI DE PRESCRIPTION ?

(Non, pas encore, ce n'est pas le moment ...).

Bonjour mes ami-e-s.

Je vous propose une étude de texte. 

Voici l'objet :


Regardons ensemble.

Nous avons la date; y avait-il bien 29 jours en février 2012 ? Oui, année bissextile.

C'est une LRAR, adressée à une Cour d'appel.

La personne qui écrit pense qu'il existe encore un droit d'aînesse en 2012 :" En qualité de fille aînée ...".

Ceci étant, nous ne savons qu'une chose; il s'agit d'une Cour d'appel francophone. Existe-t-il encore un droit d'aînesse au Québec, ou en Guadeloupe, ou autre ?

Puisqu'elle est première née, la dame doit certainement beaucoup travailler pour gagner sa vie et assumer sa famille.

D'autant qu'elle habite loin; son courrier dit qu'elle ne viendra pas au RDV. 
Il n'y a pas d'avion dans cette contrée en 2012 ?

Ce qui est ennuyeux, c'est qu'une enquête fiscale a démontré que la dite dame n'avait pas de retraite.

Premier mensonge.

Poursuivons.

La dame évoque une personne qu'elle semble bien connaître puisqu'elle affirme que cette personne est atteinte de "psychose maniaco-dépressive qu'elle refuse de soigner ..." et que cette personne possède une "personnalité délirante et paranoïaque" ... ce qui pourrait la rendre dangereuse car irresponsable.

Ce qui est ennuyeux, c'est qu'une enquête médicale a révélé que la dite personne était saine d'esprit, avec des problèmes comme tout un chacun.

Deuxième mensonge, particulièrement "osé".

La missive précise ensuite que la dame a déjà écrit un courrier du même ordre. 

Il s'agit donc d'une récidive.

Puis vient une déclaration de confiance auprès d'organismes
qui protègent quelqu'un de la dangerosité de la personne déclarée folle, mais qui, en fait, ne l'est pas. Entre nous, la folie se soigne-t-elle ?

Puis arrivent les promesses de témoignages d'ami-e-s complices, prêt-e-s à confirmer ce qui est allégué.

Ce qui est ennuyeux, c'est qu'une enquête de police a révélé que la dame responsable de cet écrit a imité la signature de divers handicapés mentaux pour se faire des chèques à son profit à elle.

Au total : Récidive de double faux témoignage auprès d'une Cour d'appel, avec complicités. Sans oublier d'éventuels faux en écriture.


Qui donc est réellement dangereux dans cette histoire ?


A bientôt car ...


A SUIVRE ...

(Mais non, ce n'est pas pour tout de suite !).


 

dimanche 4 octobre 2015

SIMILITUDE DE MOYENS MALINS ? ...

(Quelque part en Guadeloupe, là où les esclaves noirs se suicidaient ...)


Mes cher-e-s ami-e-s, faisons un petit effort de mémoire.

Souvenons-nous de ce vieil homme qui a bien failli mourir récemment. Son fils médecin avait écrit des consignes de surveillance.
http://gouinguenetagnes.blogspot.fr/2015/09/tentative-de-meurtre-mine-de-rien.html 

Quelqu'un-e a-t-il(elle) momentanément subtilisé l'écrit de surveillance, pour que la surveillance n'ait pas lieu ?

Souvenons-nous de ce Procureur de la République qui change d'avis car il semble découvrir la preuve de la culpabilité de N2.

Quelqu-un-e a-t-il(elle) momentanément subtilisé la preuve de la culpabilité de N2, pour que l'affaire soit classée ?

Ou tout simplement, quelqu-un-e a-t-il(elle) raconté que le fils médecin et Madame Agnès étaient atteints de troubles névrotico-psychiatriques, et ne devaient pas être écoutés ?

Le problème est que le fils médecin et Madame Agnès ont raison.

A qui profitent ces "racontars" ?

A bientôt car ...

A SUIVRE ...


(Non loin de Dieppe, d'où sont partis les premiers esclavagistes des Guadeloupéen-ne-s)

 

N'EMPÊCHE QUE N2 ACCUSE A TORT SON CONFRERE N1 !

(Preuve que N1 a bien fait son travail)

Bonjour mes ami-e-s.

N2 a beau être couvert d'honneurs de temps en temps, cela ne lui donne pas le droit de porter tort à l'un de ses confrères.

Car N2 accuse (par un écrit adressé à sa propre Chambre des Notaires) N1 de lui avoir envoyé 290 000 euros par virement innominé et sans lettre d'explication. 




FAUX TEMOIGNAGE de la part de N2 (lettre datant du 23 mars 2015).

La Chambre départementale des Notaires concernée envoie donc une lettre mensongère au Procureur de la République. 

Curieusement, cette Chambre départementale ne contacte pas N1 pour simple contrôle, se rendant ainsi complice du faux témoignage de N2. Car pour une Chambre départementale des Notaires, accuser un confrère (le pauvre N1) sans preuve, c'est pour le moins étonnant !

De ce fait, le Procureur de la République du Tribunal concerné classe l'affaire.



Mais Madame Agnès prend la défense de N1 et ré-envoie la preuve de la bonne foi de N1(la lettre de N1 à N2, datée du 23 novembre 2012, où N1 prévient N2 PAR COURRIER qu'il lui envoie UN CHEQUE).

Résultat : Le Procureur est obligé de ré-ouvrir le dossier car il y a preuve, non seulement du manquement de N2, mais en plus de son FAUX TEMOIGNAGE.



Ce qui surprend Madame Agnès, c'est qu'elle avait déjà envoyé cette preuve au Procureur de la République, par LRAR datée du 4 février 2015 (et réceptionnée par le TGI concerné le 9 février 2015). La preuve fut-elle donnée à lire au Procureur de la République ?



Et la Chambre départementale des Notaires concernée, dans toute cette histoire ?

A bientôt car ...

A SUIVRE ...


(Ne pas confondre un pur sang avec un bonnet d'âne !).