mardi 6 septembre 2022

De quoi es-tu morte, ma tante lesbienne Geneviève GODARD, née ANQUETIN à Dieppe ?

ANQUETIN Genevieve Jeanne Elisa

Née le 20/07/1903 - Décédée le 17/06/1988
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Sexe : Femme
Nom : ANQUETIN
Prénom(s) : Genevieve Jeanne Elisa
Date de naissance : 20/07/1903
Lieu de naissance : Dieppe - 76 - France Code Insee 76217
Date de décès : 17/06/1988 (84 ans)
Lieu de décès : Dieppe - 76 - France Code Insee 76217
Acte de décès : Numéro 344 - Demander l'acte
 
 
Parce que, 84 ans, même presque 85 ans, pour une ANQUETIN, fille de Félix ANQUETIN et de Jeanne PERIMONY, et qui n'a jamais fait d'excès, c'est jeune.
 
Quelle était ta maladie ?
 
Parce que tu ne fumais pas et tu ne buvais pas d'alcool.
 
Par contre, tu ne semblais pas très heureuse en 1985, puisque tu l'as écrit le 17 octobre 1985 à ta petite soeur, ma maman Cécile MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET.
 
 




La lettre est datée du 17 octobre 1985 et tu l'as écrite dans l'immeuble du 6 rue de la République à Dieppe, là où tu vivais.
 
Tu écris :
 
                   Le 17/10/85         6, R. de la République,
                                                  DIEPPE /Seine-Mme.
                                                           
                                                Tél : 84 - 28 - 23  (35)
 
 
Ma chère petite Cécile,
 
Quand je t'ai envoyé la liste que tu sais, j'ai oublié de te préciser: tout ce qu'il y a dans mon grenier et dans le sous-sol de mon immeuble qui me sert de cave, soit un grand congélateur, une scie électrique à sier (sic) du bois et des tas d'instruments de menuiserie.
 
Je me sens malade, la petite que j'ai eu le tort d'adopter est odieuse elle doit trouver que je ne crève pas assez vite, n'a aucune gentillesse avec moi ! je crois que depuis ma naissance, je n'ai jamais sentie (sic) une telle atmosphère de haine autour de moi !
 
                            Je t'embrasse de tout mon coeur et fais à max (sic) toutes mes amitiés.
 
Le 17 octobre 1985               Geneviève.
 
                            
Le 6 rue de la République à Dieppe, c'est là :
 
 

Je me souviens y avoir passé un mois de vacances avec maman Cécile, que vous aviez invitée gentiment car elle venait de divorcer d'avec papa Charlick. Louis et toi aviez été très chics avec maman, cette année-là.
  
Requiem in pace, ma tante Geneviève. Je t'aimais bien, ainsi que ton époux mon oncle Louis GODARD, auquel je donnais des timbres car il en faisait collection. Comme mon oncle René BERNARD, époux de la soeur de papa Charlick, il fut prisonnier pendant 5 ans durant la guerre 39 - 45. Tu as bien fait de ne pas le lâcher après toutes les souffrances qu'il avait endurées.
 
Etienne mon époux t'aimait bien.
 
Fécamp, ville où naquit Etienne, n'est pas très éloignée de Dieppe ...

De quoi es-tu morte ? Qu'avais-tu comme maladie ? Car on ne meurt pas comme ça, du jour au lendemain, quand on est une ANQUETIN.

As-tu rompu un anévrisme cérébral comme ton frère mon oncle Paul ANQUETIN, qui s'était épuisé en restaurant sa maison de Fleury-la-Forêt puis celle de Lyons-la-Forêt avec son compagnon Paul BOUCHAIN ?
 
De quoi es-tu morte, tante Geneviève ? Tu ne t'es pas suicidée de désespoir, au moins ! On ne t'a pas ... ?
 
Où es-tu enterrée ?

Je t'aimais bien, et je pense très fort à toi.

Une rue à Dieppe ...

 

dimanche 4 septembre 2022

Merci à ma grande soeur Anne GOUINGUENET.

 

Photo de mon premier mariage avec Etienne, à Rouen (Eglise Saint Patrice). Ma grande soeur Anne, que l'on voit derrière moi et qui semble sceptique devant le symbole des alliances, est mon témoin.

 

Bonjour ma grande soeur Anne GOUINGUENET.

Comment vas-tu ? Moi, je vais très bien. Je vis dans un endroit bien agréable.

Avec l'héritage de notre papa Charlick, j'ai acquis une maison avec un joli jardin; et un T2 face à la mer, à environ 10 km de la maison, un peu comme notre maison Ker Avel à Coutainville et celle de Coutances, rue du Palais de Justice. 

Ces deux logements sont totalement indépendants et refaits à neuf. Cool.

Je tenais à te remercier vivement pour ce que tu as fait pour moi, le jour de mon suicide le 3 août 2003.

En effet, je suis arrivée à pied chez notre maman Résidence de France à Pau, couverte d'excoriations, avec un traumatisme facial.

Tu étais là. Tu n'as pas paniqué. Tu ne m'as pas laissé tomber. Tu as fait exactement ce qu'il fallait, car notre mère n'en était pas capable, anéantie.

Tu m'as aidé à prendre une douche sans me faire mal, à m'habiller, et tu as appelé les urgences.

J'étais sauvée. 

Je tenais à te remercier pour ton self-contrôl ce jour-là, car il n'est pas certain que je m'en sois si bien sortie sans ta présence d'esprit et ton empathie.

Merci à toi, ma grande soeur Anne, car si je vais bien désormais, c'est grâce à toi.

Je tenais à t'informer que je supprime toute plainte contre toi. 

Boomerang de bienveillance.

 

Photo de mon second mariage avec Etienne à Pau, avec de gauche à droite : Etienne, Agnès (moi), maman Cécile, Maxime son époux, et ma grande soeur Anne, qui ne pouvait plus être mon témoin, car le divorce n'est pas reconnu par la religion catholique. Donc mariage civil.
 

vendredi 2 septembre 2022

Qui donc t'a assassiné, Martin mon frère ?


Martin VIEILLEVILLE, fils génétique adultérin du Docteur Charles GOUINGUENET, mon/son papa. Photo trouvée dans le porte-feuilles du Docteur Charles GOUINGUENET.

 

Martin mon frère, tu es né alors que j'avais 26 ans et ma grande soeur Anne 29 ans.

Ni ma soeur ni moi-même n'avons connu ton existence durant 26 années.

Un jour de l'année 2002, à Pau, non loin de mon laboratoire, une "bonne âme" originaire de Coutances, notre ville natale, me dit : Comment va ton demi-frère ?".

STUPEUR.

J'ai tout de suite prévenu notre grande soeur Anne.

Tu avais alors 26 ans, notre grande soeur Anne 55 ans et moi 52 ans (le double de ton âge, ce détail m'a frappé).

Etienne mon notaire de mari était encore vivant.

Je lui ai demandé conseil, pour faire ta connaissance ou non.

Il a réfléchi et m'a dit fort intelligemment : "Tu viens d'apprendre l'existence de Martin; lui sait que tu existes depuis 26 ans; s'il voulait faire ta connaissance, il aurait déjà fait le premier pas".

J'ai suivi ce conseil que j'ai trouvé judicieux et n'ai jamais vu mon demi-frère.

Ma grande soeur Anne fit le raisonnement inverse et voulut connaître son demi-frère, ainsi que la maman de ce demi-frère, laquelle était sage-femme, comme notre maman à nous. 

Eh oui, les blouses blanches !

Total respect de la décision de ma grande soeur Anne, qui me raconta que notre demi-frère était un garçon intéressant, qui faisait des études de philo.

Notre papa subvenait à ses besoins financiers, ce qui est la moindre des choses. Par contre, la seconde femme de papa, Hélène GOUINGUENET née REGNAULT à Coutances (ou Saint-Nicolas de Coutances) prit cette naissance en pleine tête.

En effet, la première épouse de notre papa, notre maman, avait 2 filles (ma grande soeur et moi), elle aucun enfant, et notre papa faisait un fils à une troisième femme ! 

BONJOUR LA GIFLE !

Mais voilà, la seconde femme de papa eut la bêtise d'arrêter de travailler en devenant "la femme du Docteur Charles GOUINGUENET à Coutances". 

QUELLE PLOUQUE !

De ce fait, elle était pieds et poings liés par son mariage, car elle n'avait plus de revenus personnels. 

D'ailleurs, cette dame avait dit devant moi lors du placement de papa en Ehpad pour démence sénile : "Je n'ai pas la chance d'avoir mon mari mort". Or, son mari, c'était mon papa.

Bonjour l'ambiance !

BREF, une ratée. 

Un jour de 2008, je suis allée à Vannes (56) où vivaient papa et cette seconde épouse bafouée pour leur rendre visite.

Je demande : "Comment va Martin ?".

Réponse immédiate de l'épouse: "Il est mort".

Il avait 32 ans et était DCD depuis  plusieurs mois ! Je ne le savais pas.

Cette mégère d'Hélène REGNAULT jouissait de la mort de ce pauvre garçon : une pension de moins à verser !

TERRIFIANT.

Donc notre demi-frère est mort en 2008.

Comme c'était un fils de notre papa, même adultérin (test ADN positif), il était son héritier au même titre que ma soeur et moi. 

Qui donc était le petit copain de ma grande soeur à ce moment-là ? Cela fleurait bon les héritages, de ce côté-là !

Notre pauvre demi-frère Martin était un héritier GOUINGUENET en trop !

Notre papa, avec son fils génétique adultérin Martin VIEILLEVILLE, et probablement ses petites soeurs ou ses cousines, chez la maman de Martin. Photo trouvée dans le porte-feuilles de notre papa le Docteur Charles GOUINGUENET.
 

Martin notre frère est mort dans un hôpital de la région parisienne. C'est tout ce que je sais.

C'est ma grande soeur Anne qui fut prévenue par la maman de Martin, qu'elle connaissait, du décès tragique de Martin. Et ma grande soeur apprit la sombre nouvelle à notre papa, déjà très affaibli par son début de démence sénile, et à sa femme, trop heureuse de ne plus rien payer pour le pauvre Martin.

Une enquête fut diligentée, car la maman de Martin n'a pas compris pourquoi son fils est mort alors qu'il était hospitalisé. Tentative de suicide ? Overdose ? Empoisonnement ? 

Les gens meurent plus facilement en milieu hospitalier, ni vu ni connu.

Qui a commandité ton assassinat, Martin mon frère, pour t'éliminer de la succession de notre / ton père ?

Notre grande soeur Anne t'aimait bien, d'autant qu'elle est excellente en philo, comme tu l'étais puisque tu étudiais cette discipline à la Fac. Donc vous aviez un point commun Gouinguenet. 

 

Martin garçonnet, avec sa petite soeur ou sa cousine. Photo trouvée dans le porte-feuilles de notre papa, le Docteur Charles GOUINGUENET.

 

Ma grande soeur Anne et moi, au même âge que Martin sur la photo ci-dessus, dans le Marais à Coutainville (50), cueillant des fleurs sauvages. Jours heureux.
 

 

 N.B. J'ai porté plainte contre ma grande soeur et désire annuler cette plainte. Comment dois-je procéder ? Merci.

 




 

A SUIVRE ...

 

 

jeudi 1 septembre 2022

Qui donc a commandité ta mort, maman ?

 

Photo prise chez notre maman, Résidence de France, immeuble Normandie.

 

Qui donc a pris cette photographie, chez notre maman Résidence de France à Pau, en plein jour, alors que ma grande soeur Anne est habillée et que notre maman est en robe de chambre et en chaussons ?

Cette photo ne respire pas le respect d'une personne âgée, entre nous soit dit.

Que ma grande soeur ne s'en offusque pas n'est pas choquant car c'est sa maman après tout.

Mais la personne qui prend la photo ? 

Cette personne ne trouve pas humiliant pour une vieille dame d'être encore en robe de chambre et chaussons en plein jour chez elle ?

 

Ah, c'est mieux ! Cécile habillée et Isha, à Saint-Jean-de-Luz.

 

 

 

C'est la même robe de chambre bleue que porte notre maman Cécile MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET, lors de son hospitalisation début décembre 2018 à Saint-Jean-de-Luz, peu de temps avant sa mort. La pauvre femme avait un peu d'oedème des membres inférieurs, mais elle avait plus de 98 ans, et sa circulation sanguine au niveau des jambes et cuisses était un peu coupée par la position assise ... Son réel problème était son anémie, due à un petit cancer du colon, non métastasé et donc très curable. Elle manquait de souffle, d'autant qu'elle était devenue asthmatique. Mais ce n'était pas tragique du tout. Elle n'avait mal nulle part (j'aurais agi +++). On la transfusait si besoin était, en attendant de traiter la tumeur.

 

A MORT !

 

N.B. Nous avions discuté d'euthanasie, au cas où. Ancienne sage-femme et ancienne femme de médecin, elle était CONTRE. C'était donc un choix mûrement réfléchi, POUR ELLE-MÊME.

 

 


 

 

lundi 29 août 2022

CECI EST MON TESTAMENT.


 Le Docteur et Madame Charles GOUINGUENET, mes parents, dans leur jardin de Coutances (50), au 11 rue du Palais de Justice.


Ceci est mon Testament :

Je soussignée, Docteur Agnès GOUINGUENET, née le 23 avril 1950 à Coutances dans la Manche (50), déshérite et déclare priver de tous leurs droits à ma succession toute ma famille génétique, en particulier ma soeur Mademoiselle Anne GOUINGUENET, née à Coutances le 8 mai 1947, et ses ayants droit.

Je soussignée, Docteur Agnès GOUINGUENET, née le 23 avril 1950 à Coutances dans la Manche (50), lègue à ma mort tous mes biens aux Sauveteurs en mer, à savoir la SNSM (Société Nationale de Sauvetage en Mer), située au 8 Cité d'Antin - 75009 - Paris (9 ème).

 

Fait le 29 août 2022.

Docteur Agnès GOUINGUENET. 

 

Mon papa (1920 - 2012) et sa maman, ma mamé, dans le jardin de notre maison de Coutances.
 
 

Ma maman (1920 - 2019), le 30 juin 2017, jour de ses 97 ans, chez moi, à Saint-Jean-de-Luz.
 

 

IN MEMORIAM.

 
 

mardi 16 août 2022

PREUVE DE L'ASSASSINAT DE MADAME CECILE MAGNE, NEE ANQUETIN, EX-GOUINGUENET.

 

Cécile et Isha.

 

Bonjour mes ami-e-s et autres.

Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN à Dieppe, ex-GOUINGUENET (patronyme de mon papa le Docteur Charles GOUINGUENET, dit Charlick GOUINGUENET) est décédée chez moi, résidence URIAN, place des Basques à Saint-Jean-de-Luz, le 27 janvier 2019, aux environs de 7h le matin.

En effet, j'ai entendu un assez grand bruit alors que j'étais encore couchée dans mon lit. Je me suis levée et l'ai trouvée allongée par terre dans sa chambre, à côté et parallèle à son lit, en décubitus ventral donc face contre terre.

Il y avait de la moquette dans tout mon appartement. 

Etant une vieille toubib, je me suis précipitée pour lui venir en aide, mais je ne pouvais rien faire car elle était trop lourde. 

Elle n'était pas encore décédée car je lui ai demandé : "Maman, tu es blessée ?", et elle m'a répondu comme elle le pouvait alors, par une sorte de grommellement. 

Puis sa cage thoracique s'est immobilisée car elle ne respirait plus.

J'ai tout de même appelé le SAMU, qui n'a rien pu faire puisque la pauvre femme était morte. 

Le compte-rendu du SAMU note : "Fracas facial avec évidente fracture du nez compatible avec une chute directe de sa hauteur".


 

Le problème est que Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN et ex-GOUINGUENET, ne pouvait plus se lever de son lit sans mon aide. 

DONC ON L'A FAIT TOMBER, ON L'A TUEE. 

En fait, à force de l'aider à passer de la position assise sur son lit à la position debout, tirant sur ses bras en joignant nos mains respectives (ma main gauche et sa main droite, ma main droite et sa main gauche), j'avais mal au dos et au genou droit.

D'ailleurs j'ai consulté à cette occasion le Docteur Valentine KAHN, rhumatologue au groupe Elgar à Saint-Jean-de-Luz, laquelle m'a prescrit une radio du rachis lombaire, du bassin et du genou droit; voici les résultats, datés du 18 janvier 2019 soit 9 jours seulement avant le décès de Cécile MAGNE :

 

Pourquoi avais-je si mal au dos et au genou droit à ce moment-là, alors que désormais, à 72 ans, je n'ai plus mal du tout ?

C'est parce que ces douleurs étaient réactionnelles, dues à des efforts excessifs et répétés, pour lever ma maman de son lit, l'aidant à passer de la position assise à la position debout, puisqu' ELLE NE POUVAIT PLUS LE FAIRE TOUTE SEULE SANS MON AIDE.

Si Cécile MAGNE, née ANQUETIN à Dieppe, ex-GOUINGUENET, est tombée de sa hauteur et s'est fracassé la face sur de la moquette, c'est qu'on l'a levée et poussée pour qu'elle tombe et se tue.

Qu'en pense le procureur Monsieur Samuel VUELTA-SIMON, actuel procureur à Toulouse et alors procureur à Bayonne, lui qui a classé sans suite toutes mes plaintes concernant ma maman Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN à Dieppe, ex-GOUINGUENET ?

 

Plainte contre sa fille aînée, qui avait volé la carte bleue de sa mère et mis le compte-courant maternel pratiquement dans le rouge.

Plainte pour mise en danger de la vie de Madame Cécile MAGNE par deux médecins qui lui prescrivaient un diurétique hypotenseur alors qu'elle était hypotendue !

Plainte pour tentative de meurtre dans un Ehpad où on ne lui donnait pas son traitement par aérosols, vital pour elle.

Plainte pour assassinat de Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET. 

 





 HONTE !

 

HONTE !

 

HONTE !

 

Je ne t'aimais pas beaucoup, maman, car tu m'en as fait trop baver, mais j'ai tout fait pour préserver ton humanité.

Un-e citoyen-ne français-e a-t-iel le droit de porter plainte contre un procureur de la République française ?

Car classer sans suite à répétition des délits prouvés ... peut être considéré comme de la complicité. 

Et quand cela se termine par un homicide, c'est du lourd.

 

In memoriam son second époux, Maître Maxime MAGNE, périgourdin, gars très bien, ancien résistant, lequel a beaucoup aimé sa deuxième épouse Cécile.
 

jeudi 11 août 2022

ACROSTICHE AUTO - "NOMME".


Agnelle et non agneau, merci joli cadeau,

Gentiment savouré, posément dégusté,

Nullement adoré, ni même rejeté, 

Etonnement ravi par si léger fardeau.

Syllabes enlacées, clairement détachées,

Gambader, sautiller, courir et s'ébaudir.

Oubli des trahisons, souffrances arrachées,

Utilité béquilles empêchant de maudire,

Inlassable combat, batailles enivrées,

Noyant en eaux glacées, ces peines enfiévrées,

Gorgées de malamour et de sombres désirs,

Unique blanc mouton, à noircir à plaisir !

Energies épuisées mais relevée l'ardeur,

Nourrissant un biquet, perfusé de ferveur,

Entouré d'un halo, radieux et enchanté,

Tant douce est la vision d'un loup tout édenté !


Lacanau, le 12 août 2022.

Agnès GOUINGUENET.

 


mercredi 3 août 2022

Honte à toi, ma mère !

 

Hendaye, août 2014.

 

Honte à toi, ma mère, qui m'a martyrisée alors que je n'étais pas encore née.

Honte à toi, ma mère, toi qui fis une dépression nerveuse alors que tu étais enceinte de moi en 1949-1950.

Merci pour le cadeau des influx dépressifs que tu m'as envoyés, alors que j'étais ton foetus in utero, foetus que tu détestais déjà.

Honte à toi, ma mère, qui accepta de subir et me faire subir plusieurs électrochocs à visée psychiatrique sous anesthésie générale alors que, sage-femme, tu savais pertinemment ce que tu me faisais vivre, à moi ton foetus, que tu haïssais tant.

Merci pour le cadeau des narcoses + électrochocs que tu m'as envoyés, alors que j'étais ton foetus in utero.

 

Honte à toi, ma mère maltraitante !

 

Ah les apparences trompeuses !

 

Et cela a continué.

Alors que j'avais 14 ans, tu es partie à Paris, abandonnant tes deux enfants.

Heureusement, ma "mamé GOUINGUENET" est venue te remplacer à Coutances, laissant son confort rouennais pour venir secourir son fils et ses filles, TES filles.

 

Honte à toi, ma mère indigne !

 

Et cela a continué.

Tu as tout fait pour ne pas me recueillir pour que je fasse ma médecine à tes côtés.

Là encore, c'est ma "mamé GOUINGUENET" qui a fait le boulot, TON boulot. 


Hendaye, août 2014.

 

Et cela a continué.

Alors que je venais de m'installer à Pau, enfin loin des maltraitances familiales, me pensant libérée de ton cordon ombilical vénéneux, tu es venue t'imposer, m'obligeant à te trouver une maison alors que j'étais en plein travail d'installation.

 

Honte à toi, ma mère toxique !

 

Et cela a continué.

Alors que je décompensais très gravement un burn-out le 3 août 2003 (merci à mon si solide ange gardien, en ce jour anniversaire de ma re-naissance !), à tes côtés, tu m'envoyais un nouveau coup de poignard en effectuant un testament en ma défaveur, alors que j'étais hospitalisée tout près de toi et que tu ne venais même pas me voir. 

Voici ton testament ordurier, daté du 19 août 2003, alors que je suis hospitalisée pour suicide du fait d'un épuisement professionnel, et que ton époux est à quelques mois de son décès (le 11 juillet 2004) :

Sur ce bordereau de pièces, il est noté que ce testament est daté du 19 août 2003.

Tu écris :

"Je soussignée Cécile Anquetin épouse Magne, domiciliée : Résidence de France, Bâtiment "Normandie", 7 Avenue du Général de Gaulle à Pau 64000.

Je veux que mon mari Magne Maxime, s'il me survit, lui soit laissée la jouissance de mon dupleix : Résidence de France "Normandie" et tout ce qu'il y a dedans, jusqu'à sa mort et à la condition expresse qu'il reste vivre dans le dit dupleix "Normandie".

Etant donnés les moyens dont dispose mon mari, Magne Maxime, si je décède avant lui, je le déshérite du quart de mes revenus, auquel il pourrait prétendre.

Je donne à ma fille Anne Gouinguenet, née le 8 mai 1947, la quotité disponible de mon patrimoine que je laisse à mon décès.

Dans la part d'héritage venant à ma fille Agnès Gouinguenet née le 23 avril 1950, je veux qu'en priorité lui revienne l'appartement qu'elle occupe au rez de chaussée etc ...".


 

Non contente de taper sur ton mari, qui t'a entretenue pendant des dizaines d'années, tu me tapes dessus alors que je suis à terre.

Avouons que la bénéficiaire de ce testament, que nous pouvons considérer comme un testament nazi, tellement il s'acharne sur des affaiblis (un très vieil homme à quelques mois de sa mort et une fille à terre) ... est de la même veine que toi.

 

Honte à toi, mère maltraitante, injuste, indigne, toxique !

 

Pour le "fun", je mets une lettre que tu as écrite au fisc de Pau, en 2011, où tu mens, tu mens, tu mens, tout en continuant à taper sur les enfants et petits-enfants de ton mari (tu ne peux plus taper sur lui car il est décédé) et sur moi

 

Où tu oses écrire que tu possèdes "un petit immeuble donné par ma soeur à son décès, pensant selon elle que je n'avais rien à attendre de mon 2ème mari (45 ans de mariage !) car ses enfants, que j'ai oh ! combien reçus, tenaient à ce que tout leur revienne, ce qui fut fait". 

Un "petit" immeuble de 5 appartements ?

Et le duplex de Pau, que ton mari a acheté à ton nom, spoliant ainsi ses petits-enfants, tu l'oublies ?

Et tu continues : " ... et mes deux filles de mon premier mariage sont seules et se reposent encore fortement sur moi".

Dis-moi, mère menteuse, tu me donnais combien de centimes depuis fin 2006 ? Pas un centime d'euro ! 

 

HONTE à toi, ma mère !

HONTE à toi, ma mère !

HONTE à toi, ma mère !

 

Comment ai-je fait pour me sortir de ta haine obsessionnelle compulsive à mon égard ?  

Comment ai-je fait pour réussir à faire des études correctes et avoir un métier digne, donc une retraite ? 

Comment ai-je fait pour te recueillir à la fin de tes jours, te protéger de ta descendance tant semblable à toi, te donner à manger alors que tu étais si essoufflée par ton anémie ?

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Parce que je ne suis pas "de ton côté génétique".

Parce que je suis du côté GOUINGUENET-LE MAOUT.

Parce que je suis du côté de mon père, dont tu disais tant de mal, et qui a recueilli tes propres parents à Coutances, alors qu'ils étaient ruinés et sans un sou, rejetés par ta grande soeur et tes grands frères (et l'on comprend pourquoi !).

J'ai résisté à tous tes coups, in et extra utero, parce que j'ai la chance de ne pas te ressembler. 

 

Merci à mon papa, merci à mon papé et à ma mamé, merci à ma tante Anne BERNARD et à son adorable époux, merci à mes ancêtres GOUINGUENET-LE MAOUT.

Honte à toi, ma mère maltraitante, injuste, menteuse, massacreuse d'affaiblis, égoïste, ne pensant qu'à son paraître, telle une narcisse perverse.


Ta fille Agnès, qui ne te hait point, mais.

 

Ce 21 août 2014, à Hendaye, tu étais encore une boule de haine hystérique à mon égard.

 

Ai-je réussi à te donner un semblant d'humanisme ? Pas sûr, car il ne faut jamais se fier aux apparences.


Merci à toi, belle Isha, car tu m'as tant aidée !

Promis, je prépare tes croquettes de ce pas.