lundi 30 mars 2020

CORONAVIRUS : BILAN DE LA MORTALITE MONDIALE EN CE 30/03/2020.



Bonjour mes ami-e-s.

Le relevé des morts déclarés dus à SRAS-COV2 a commencé fin janvier 2020.

En effet, le 03/02/2020, la Chine comptabilisait 362 décès dus à Cov2 :


Nous pouvons en déduire sans déraisonner que les premiers décès dus à Cov2 sont survenus fin janvier 2020.

Mettons le 31 janvier 2020, même si c'est un peu avant.

Ce qui fait, en ce 30/03/2020 ... 60 jours (peut-être un peu plus, mais il faut fixer une limite au flou artistique).

Reprenons nos sources habituelles :

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Nous en déduisons que :

- Nombre de décès dans le monde entier par jour = 157 000

- Nombre de décès déclarés réellement dus à Cov2 dans le monde entier = 34 000. 

- Nombre de jours vraiment écoulés depuis le relevé des décès dus à Cov 2 = 60 (2 mois). 

- Nombre de décès déclarés dus à Cov2 dans le monde entier par jour = 567 (cad 34 000 / 60).

Effectuons la division 567 / 157 000 = 0,00361 ...

Cela nous donne la proportion des décès dus à Cov2 par rapport au nombre total, toutes causes confondues, des décès dans le monde entier, par jour.

Soit 3,6 décès pour 1000 décès quotidiens, soit environ 4 pour 1000, car un être humain n'est pas divisible en fractions d'être humain.

A ce jour, en admettant que mes calculs ne soient pas faux, le virus SRAS-COV2 est responsable de 4 décès pour 1000 décès dans le monde et par jour.

Autrement dit, 996 décès pour 1000 décès dans le monde et par jour, ne sont pas dus à SRAS-COV2.


A bientôt car ...




A SUIVRE ... 

 

samedi 21 mars 2020

Coronavirus. Une chance pour la végétation ?



Coucou les ami-e-s.

Alors là, celui que je viens de trouver ce midi, pendant une courte promenade de confinée, bat tous les records.

Une pièce de deux euros en devient ridicule.



A bientôt car ...

A SUIVRE ... 

vendredi 20 mars 2020

CORONAVIRUS SRAS-COV2, EN FRANCE, LE 20/03/2020 A MIDI.




Bonjour mes ami-e-s.

D'après mes sources habituelles :


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La France comptabilise, en ce 20 mars 2020, à midi heure française :

- 11 010 cas confirmés COVID-19 (malades, ou malades + porteurs sains).

- 372 décès déclarés dus à SRAS-COV2.

- 12 guérisons.

Or, le premier décès Cov2 comptabilisé en France est survenu il y a plus d'un mois (le vieux monsieur chinois, 80 ans et originaire de la province de Hubei).


S'il n'y a que 12 guérisons à ce jour, c'est effrayant. 

Et peut-on parler de guérison chez un porteur sain ?



Dis, Agnès, tu as pensé à acheter chez le vétérinaire mes croquettes spéciales anti-allergiques pour soulager ma MICI ?


Respirer, lutter et vaincre. 

mardi 17 mars 2020

CORONAVIRUS : SIGNES D'INFECTIONS RESPIRATOIRES.

Respire !
 
Bonjour mes ami-e-s.
 
Il existe deux sortes d'infections respiratoires : les "hautes" et les "basses".
 
1 - Les infections respiratoires hautes sont : l'angine, la sinusite, la rhino-pharyngite, mot savant pour dire angine + sinusite, et l'otite. 
 
Certes, on ne respire pas avec l'oreille, mais tout est lié.
 
En fait, ce sont les infections ORL.
 
Principaux signes que l'on peut ressentir :
 
- on a le nez qui coule.
 
- on a le nez bouché.
 
- on éternue plus que d'habitude.
 
- on tousse.
 
- on a de la fièvre

- en cas d'otite, on a mal à l'oreille.

- on peut avoir une conjonctivite associée.

 
2 - Les infections respiratoires basses sont de trois types : la bronchite aigüe, la pneumonie aigüe, et une exacerbation de BPCO (Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive). 
 
Source : 
 
 
- on tousse
 
- on crache, clair mousseux (virus) ou purulent verdâtre mochard (bactérie, ou virus + bactérie)
 
- on a de la fièvre
 
- on a du mal à respirer
 
- on respire vite
 
- on a le coeur qui bat vite
 
Pour les studieux :
 

Question 1 : Quels sont les moyens diagnostiques cliniques et paracliniques permettant de distinguer l'infection bronchique de l'infection pulmonaire ?
 
Trois situations cliniques distinctes sont regroupées sous le terme d'infections respiratoires basses (IRB) : la bronchite aiguë d'évolution bénigne, la pneumonie, grevée d'une mortalité pouvant atteindre 15 %, et l'exacerbation aiguë de bronchite chronique, au pronostic variable ; les médecins généralistes assurent leur prise en charge dans 96 à 98 % des cas.

La bronchite aiguë 

C'est une infection très fréquente (10 millions de cas par an en France), le plus souvent de nature virale, survenant en contexte épidémique. Le diagnostic est clinique : aucun examen complémentaire n'est utile, et la radiographie thoracique est réservée aux cas de doute diagnostique. L'évolution habituelle, non compliquée, se fait en une dizaine de jours vers la guérison. Les complications sont rares. Aucun essai clinique ne met en évidence un intérêt de l'antibiothérapie. L'abstention de toute antibiothérapie en cas de bronchite aiguë de l'adulte sain est la règle depuis 1991 : (SPILF 1991, AFSSAPS 2005) (Recommandation de grade A).

La pneumonie aiguë

C'est une infection du parenchyme pulmonaire, d'une fréquence estimée entre 400 000 et 600 000 cas par an en France. Seules les pneumonies communautaires (PAC) sont abordées dans cette conférence de consensus. Le diagnostic est difficile. Il repose sur un faisceau d'arguments cliniques et radiologiques dépendant de la technique d'examen et de l'expérience de l'examinateur. Les signes cliniques sont rarement au complet parmi : toux, dyspnée, douleur latéro-thoracique, expectoration, fièvre, tachycardie, polypnée, impression de gravité, matité localisée, foyer de crépitants.
La présence de râles crépitants unilatéraux a une bonne valeur prédictive positive de PAC (Accord professionnel). À l'inverse, l'association d'une fréquence respiratoire ≪ 30/mn, d'un rythme cardiaque ≪ 100/mn et d'une température ≪ 37 °9 a une bonne valeur prédictive négative de PAC (Recommandation de grade B).
Chez le sujet âgé, la symptomatologie est encore plus trompeuse, parfois limitée à une confusion, une tachypnée, une dyspnée, ou l'aggravation d'une pathologie chronique préexistante.
La radiographie thoracique de face, éventuellement complétée d'un cliché de profil, est indispensable (Accord professionnel). Les opacités alvéolaires systématisées sont aisément reconnues. À l'inverse, les opacités interstitielles et les opacités en mottes péribronchiques de type « broncho-pneumonie » sont d'identification plus délicate. Chez le sujet âgé, le diagnostic est encore plus difficile du fait de fréquentes anomalies préexistantes, de la prévalence élevée de la forme bronchopneumonique, et des difficultés techniques de réalisation.
Le scanner sans injection trouve sa place dans ces diagnostics difficiles. L'angio-scanner est réservé au diagnostic différentiel de l'embolie pulmonaire.
Les examens biologiques sont d'un apport mal évalué dans le diagnostic des PAC. Une franche hyperleucocytose, des valeurs de CRP et de procalcitonine élevées, sont en faveur d'une PAC d'origine bactérienne. À l'inverse, des valeurs basses de CRP et de procalcitonine confirmées à J2 s'inscrivent contre l'infection bactérienne. À ce jour, il paraît logique en médecine ambulatoire de réserver leur réalisation aux patients posant un problème diagnostique.

Les exacerbations de bronchopneumopathie chronique obstructive

Elles sont évaluées à 2 000 000 de cas annuels en France, entraînant 40 000 à 60 000 hospitalisations. Le plus souvent, elles surviennent sur une BPCO connue ; parfois elles la révèlent. Cette maladie chronique, lentement progressive, d'origine essentiellement tabagique, est caractérisée par une obstruction bronchique (rapport VEMS/CV inférieur à 70 %) incomplètement réversible. Son degré doit être évalué par une exploration fonctionnelle respiratoire en dehors de l'épisode aigu, réalisant une classification en stades de gravité, permettant une prise en charge optimale des malades.
Le diagnostic d'exacerbation est malaisé car la symptomatologie est non univoque, en continuité des signes de BPCO. Plusieurs critères diagnostiques existent. Pour la Société de Pneumologie de Langue Française (2003), et pour l'AFSSAPS (2005) l'exacerbation de BPCO est la majoration ou l'apparition d'un ou plusieurs des symptômes de la maladie (toux, expectoration, dyspnée), sans préjuger de la gravité de l'épisode. L'infection virale ou bactérienne n'est en cause que dans la moitié des exacerbations. La fièvre est inconstante ; les examens biologiques usuels et la radiographie pulmonaire sont peu contributifs. Parmi les critères classiques d'Anthonisen (aggravation de la dyspnée, augmentation de la purulence des expectorations, augmentation du volume des expectorations) seule la purulence franche de l'expectoration constitue un argument fort en faveur d'une origine bactérienne.


En général, quand on a une BPCO, on le sait (tabagisme !).

Si en plus, on est fatigué, on a des courbatures et on n'a pas faim, alors il faut consulter son médecin traitant.

S'il est débordé, injoignable, on appelle le 15.

A bientôt car ...

A SUIVRE ...
 


Respire encore mieux !



CORONAVIRUS : MORTALITE HOSPITALIERE EN FRANCE.






Bonjour mes ami-e-s.

En France, il y a environ 610 000 décès par an (2019).


En gros, la moitié des décès survient en milieux hospitalier (2009).


Ce qui fait environ 305 000 décès à l'hôpital par an.

Soit environ 836 décès à l'hôpital par jour.

Il y a 3 046 structures hospitalières en France. 


Dont 1 002 cliniques privées à but lucratif.

Nous pouvons considérer sans déraisonner que les cliniques privées à but lucratif ne vont pas se lancer dans des interventions chirurgicales à haut risque, car il ne faut pas plomber sa réputation.

Donc nous allons les enlever du nombre des structures hospitalières où l'on meurt.

Ce qui fait en réalité ... 2 044 structures hospitalières de fin de vie.

Donc 836 / 2 044 = 0,41 décès par jour, soit 1 décès tous les 3 jours.

Ce qui fait tout de même une moyenne de 10 décès par mois et par hôpital.

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En lisant un article paru dans Le Monde et concernant le témoignage du vécu récent à l'hôpital de Creil (Oise) ...


... Nous notons qu'il y eut 11 morts en 3 semaines (du 25 février au 17 mars 2020), soit en moyenne 0,5 mort par jour, soit 1 mort tous les deux jours.

1 mort tous les 2 jours, c'est nettement plus qu'1 mort tous les 3 jours.

Il faudrait savoir si ces 11 morts sont les seuls morts enregistrés dans cet hôpital, ou s'il y en a eu d'autres, pendant ces 3 semaines. 

Si ces 11 morts sont dus seulement à SRAS-COV2, en plus des autres morts, c'est énorme (insuffisance respiratoire infectieuse mortelle). 

Si ces 11 morts constituent l'ensemble des décès dans cet hôpital en 3 semaines, c'est trop mais pas énorme.

De plus, il faudrait connaître le nombre moyen de décès annuel dans cet hôpital.

Car 1 décès tous les 3 jours, c'est une moyenne nationale, en tenant compte des décès enregistrés dans les 2 044 structures hospitalières à but non lucratif.

A bientôt car ...

A SUIVRE ...





N.B. Il ne faut pas non plus mettre tous les décès actuels sur le dos de SRAS-COV2.
Exemple d'un décès qui aurait probablement eu lieu, même sans SRAS-COV2:


Car plus de 85 ans, hospitalisé pour chute, et bronchitique chronique, c'est de mauvais pronostic, avec ou sans virus.

Or ce décès est comptabilisé "décès Cov2".

samedi 14 mars 2020

CORONAVIRUS SARS-COV2 : SITUATION OUTRE-RHIN. MIRACLE ALLEMAND ?



Bonjour mes ami-e-s.

Si mes sources donnent des chiffres exacts ...

https://www.bloomberg.com/graphics/2020-wuhan-novel-coronavirus-outbreak/?sref=fo6OHuy7
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https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6 
 

... Il y a actuellement, en Allemagne ... 8 morts, déclarées dues à Cov2.

Or, le 7/3/2020, il y avait zéro mort en Allemagne :

https://blogs.mediapart.fr/agnes-gouinguenet/blog/240220/covid-19-en-chiffres-depuis-debut-fevrier-2020

Ce qui fait 8 morts en 7 jours (nous sommes le 14/3/2020), soit environ 1 mort par jour.

Mortalité en Allemagne = environ 11 pour mille, soit 1%.

Population allemande = environ 82 millions (82 000 000).

Soit  82 000 000 / 100 = 820 000 morts par an.

Soit 820 000 / 365 = 2 246 morts par jour.

Ce n'est donc pas trop paniquant, 1 mort par jour quand il y a 2 246 morts par jour toutes causes confondues, surtout qu'avec le si pratique "secret médical", on n'est sûr de rien. 

Ces 8 décès sont peut-être liés à des embolies pulmonaires massives létales, elles-mêmes dues à un traitement anti-coagulant mal équilibré.

jeudi 12 mars 2020

CORONAVIRUS SARS-COV2 ET CANICULE AOÛT 2003 EN FRANCE.





Bonjour mes ami-e-s.

"On" nous annonce une crise sanitaire majeure liée au nouveau Coronavirus appelé SARS-COV2, du jamais vu depuis belle lurette.

Alors j'ai pensé aux ravages de la canicule d'août 2003 (c'était il y a 17 ans, donc c'était hier), et j'ai trouvé une étude très sérieuse, effectuée par des chercheurs de l'INSERM :


C'est très précis et prouvé.

Allons à la page 17: il y eut 56 550 décès durant le mois d'août 2003 en France métropolitaine, soit 56 550 / 31 jours = 1 824 décès par jour.

Allons à la page 25 et regardons le tableau des décès observés et des décès attendus (en se basant sur la moyenne des décès observés les années précédentes au même moment) :

- nombre de décès réels observés = 41 647 du 1er au 20 août 2003, soit 2 082 décès par jour.

- nombre de décès "attendus" = 26 850 du 1er au 20 août 2003, soit 1 342 décès "attendus" par jour.

- nombre de décès "en trop" = 14 797 du 1er au 20 août 2003, soit 740 décès en trop par jour pendant 20 jours. 





Si nous reprenons le bilan des décès déclarés liés au nouveau Coronavirus SARS-COV2, en France, et selon notre source habituelle :


Nous remarquons qu'en 1 mois, le virus SARS-COV2 a fait 48 morts en France, soit 1,6 mort par jour pendant 30 jours soit pas tout à fait 2 morts par jour pendant 30 jours. 

C'était juste pour comparer les morts "en trop" dus à la canicule d'août 2003 (740 par jour) et les morts "en trop" dus au coronavirus SARS-COV2 depuis 1 mois (moins de 2 par jour).

Rappels : bien se laver les mains régulièrement et ne pas oublier de s'occuper de ses vieux parents affaiblis. 


Youpi la vie !



CORONAVIRUS : SITUATION EN FRANCE EN CE 12/3/2020.



De deux choses l'une :

- Ou bien les chiffres donnés par les cartes interactives sont faux;  la situation sanitaire mondiale étant catastrophique, on ne veut pas affoler les populations du globe.

https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6 
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https://www.bloomberg.com/graphics/2020-wuhan-novel-coronavirus-outbreak/?sref=fo6OHuy7 

Dans ce cas-là, il faut annuler dès maintenant les JO et annuler tous les rassemblements de population (700 personnes, c'est exactement la même chose que 1 000 personnes).


- Ou bien les chiffres donnés par les cartes interactives sont totalement exacts (moins de 5 000 morts sur toute la planète terre en 3 mois), et Cov2 n'est pas méchant du tout, sauf quand il rencontre un terrain très affaibli (gens très âgés, gens déjà très malades chroniques).

Dans ce cas-là, il ne faut rien annuler. Par contre, il faut faire attention aux gens fragiles ++, sans pour cela vouloir bêtement qu'ils vivent en atmosphère stérile, car c'est impossible. C'est la vie.

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Aux dernières nouvelles en France :

https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/03/11/coronavirus-allocution-televisee-de-macron-jeudi-le-gouvernement-se-prepare-au-stade-3_6032630_3244.html

Il y aurait :

- 2 281 cas déclarés positifs à Cov2 ; tous ces cas diagnostiqués "porteurs" du virus ont-ils des signes cliniques (fièvre, toux), ou bien certains ont-ils été testés car ils étaient en contact avec une personne vraiment malade Cov2, sans avoir eux-mêmes le moindre signe clinique, voire parce qu'ils étaient inquiets ?

Car ce n'est pas du tout la même chose de ne tester que des porteurs malades, ou de tester aussi des porteurs sains car "ils passent par là".

- 48 décès. Là, on ne peut pas discuter. Encore que. Dans ces 48 décès, combien avaient déjà une maladie grave, un grand âge invalidant, dont Cov2 n'a fait que précipiter la mort inéluctable, comme tout autre agent infectieux respiratoire ?

48 décès pour 2 281 cas déclarés positifs à Cov2, cela fait 2,10 % de décès soi-disant liés à Cov2. C'est une "létalité" toute relative puisque l'on ne sait pas si les 2 281 cas diagnostiqués sont malades.

- 105 en réanimation. Cela veut dire quoi, ce terme de réanimation ? 

Il y a 8 ans, mon vieux papa (un bon 91 ans), BPCO car il avait fumé +++, en Ehpad car apparenté Alzheimer assez sévère, pourtant vacciné contre la grippe saisonnière, fait une infection respiratoire dont il n'arrive pas à se sortir (étiquetée "grippe" sans preuve). On décide une hospitalisation en service de "pneumologie", donc chez des experts; on lui a mis une perfusion d'antibiotiques car il avait certainement une sur-infection bactérienne au niveau pulmonaire. Il n'était pas en réanimation. Il était simplement soigné. D'ailleurs c'était efficace puisque sa fièvre tombait. Par contre, il n'a pas été surveillé correctement et il a fait une fausse route cataclysmique en mangeant, ce qui l'a tué dès le lendemain de son hospitalisation, après une agonie terrible (j'ai vu, mais étant impuissante je suis partie ...). Un vieux bonhomme qui a perdu la tête ? Pas intéressant ... on s'en fout. C'était il y a 8 ans, 9 ans après la triste hécatombe de la canicule de 2003 ...

S'il y a 105 personnes en "réanimation" sur les 2 281 cas déclarés, cela fait 4,60 % de cas graves. Je trouve que c'est beaucoup. Sauf s'ils ont plus de 85 ans, avec une atteinte pulmonaire pré-existante, voire des problèmes cardiaques.

- Soit au total : 2 281 cas + à Cov2 avec 48 décès (2,10 % des cas +), 105 en réa (4,60 % des cas +), et probablement le reste en guéris certains soit 2 128 cas (93,30% des cas +).

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Donc actuellement, en France, Cov 2 provoque chez les gens qu'il infecte :

2,1 % de morts, mais en préservant les enfants et les adultes en bonne santé.

93,3 % de guérisons certaines.

Pour 4,6 % des cas, on ne sait pas encore quelle sera l'évolution.

Ce qui signifie que, en France, il n'y a pas 98 % de guérisons, mais 93 % (en admettant que tous les cas testés soient malades, sinon tous ces chiffres n'ont pas trop de sens; plus on fait de tests systématiques chez des porteurs sains, moins il y aura de morts dits de "létalité"; plus on fait de tests chez les mourants ou morts, plus il y aura de morts dits de "létalité", pas toujours vrais).

Mortalité actuelle de Cov2 en France = 48 décès pour 67 millions de Français-e-s en 1 mois, soit moins de 2 décès par jour.

Mortalité actuelle en France = 1 700 décès par jour, toutes causes confondues (il y eut 612 000 décès en France en 2018).

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Est-il besoin de rappeler qu'il faut se laver les mains assez souvent, sans en faire un TOC, et qu'il ne faut pas oublier de s'occuper de ses vieux parents affaiblis ?

 



mardi 10 mars 2020

Pneumopathie coronavirale et vertige des chiffres chinois.

Bonjour mes ami-e-s.

La population de la Chine est d'environ 1,4 milliard d'êtres humains.

Ce qui fait : 1 400 000 000

Le mortalité en Chine est d'environ 8 pour 1000 ce qui signifie 8 décès pour 1000 habitants.

Avec 1 400 000 000 d'habitants, cela fait 1,4 milliard X 8 = 11,2 milliards, que divisent 1000, soit 11,2 millions soit 11 200 000 décès.

Si nous considérons cette mortalité sur 1 an, cela fait 11,2 millions de décès par an, soit 30 685 décès par jour (en France, il y a environ 1 500 décès par jour, soit 20 fois moins puisque la population française, d'environ 67 millions, est 20 fois moindre que celle de la Chine).

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Si nous regardons bien la carte mondiale des décès soi-disant dus à SARS-COV2 :


Nous en déduisons qu'il y a eu, en Chine à ce jour, soit au bout de 3 mois d'épidémie à "nouveau coronavirus", soit au bout de 90 jours ... 3 136 décès, soit environ 35 décès par jour.

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Ce qui signifie que SRAS-COV2 aurait provoqué en Chine 35 décès par jour, sur une population qui comptabilise en moyenne environ 30 685 décès par jour.


Et on appelle cela une épidémie dangereuse?

samedi 7 mars 2020

GROSSESSE et SRAS-COV2.





Bonjour mes ami-e-s.

Allons bon, il ne faut pas le crier sur les toits, mais tout arrive ... je suis enceinte de 4 mois.

J'ai embrassé un joli monsieur affectueusement il y a quinze jours, qui n'est pas le papa (j'ai fait une FIV). C'est vrai qu'il toussait; je m'en souviens maintenant.

Le problème est que l'hôpital vient de m'appeler. Le joli monsieur a une pneumonie à SRAS-COV2 prouvée biologiquement et, quand nous nous sommes embrassés, il était déjà contagieux. Il est mourant.

Il est certain que j'ai eu une petite fièvre il y a une semaine, mais très passagère. Tout est rentré dans l'ordre.

Si l'on me fait un prélèvement, on ne retrouvera pas le virus et ce sera négatif.

Je fais quoi avec le bébé ?

J'avorte ?

Je n'avorte pas ? 

Si je n'avorte pas, quels sont les risques que mon enfant soit anormal ? Gravement ?

SRAS-COV2 agit-il comme le virus de la rubéole, qui provoque de terribles embryopathies ? Ou bien ce n'est pas grave ? 

Je suis très angoissée car personne ne sait quoi me répondre, ni le gynécologue, ni l'obstétricien.

Mon embryon-foetus reçoit toutes mes ondes de stress et de chagrin.

Quelqu'un peut-il m'aider ?


Le joli monsieur, c'est (c'était ?) mon frère.