lundi 17 mai 2021

Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN et ex-GOUINGUENET : année 2014.

 


Le 4 mars 2014 : Monsieur le Procureur (de Pau) : "Par la présente, je vous informe porter plainte contre ma soeur Mademoiselle Anne GOUINGUENET pour abus de faiblesse sur notre mère Madame Cécile MAGNE, 93 ans, née le 30 juin 1920 et domiciliée Résidence de France, Immeuble Normandie, 7 avenue du Général de Gaulle à Pau (64). Il s'agit d'une récidive car j'ai du protéger notre père, feu le Docteur Charles GOUINGUENET, ex de notre mère, qui fut placé sous protection judidiaire en urgence par Madame Mylène SANCHEZ, juge des tutelles à Vannes. Pièces à conviction ..."

 

Bonjour mes ami-e-s.

En mars 2014, je prends en charge la santé et la comptabilité de Madame Cécile MAGNE.

 

La santé de Madame Cécile MAGNE :


Son médecin traitant de Pau me donne une dernière ordonnance, avec son traitement du moment :

 

Atacand et Monotildiem = traitement de l'HTA; Levothyrox = traitement de l'hypothyroïdie

 

Un médecin traitant de Saint-Jean-de-Luz (qui m'avait été conseillé par un médecin généraliste-médecin du sport à Billère près de Pau) l'examine et fait un certificat médical détaillé, fin mai 2014 :

 



Donc : HTA, hypothyroïdie, syndrome dépressif et "séquelles" d'un AVC en 2013. Troubles moteurs (en effet, elle a besoin d'un déambulateur pour se déplacer, mais peut encore monter et descendre quelques marches en s'aidant à la rampe; aucune paralysie).

 

Madame Cécile MAGNE est examinée par un médecin expert auprès des tribunaux début juin 2014 :

 



AU TOTAL : rien de bien extraordinaire. Une HTA bien équilibrée, une hypothyroïdie bien compensée par traitement substitutif, un syndrome dépressif curable, et des troubles cognitifs sans grande gravité pour une femme de 93 ans.

Elle ne peut vivre seule et doit être aidée pour sa comptabilité.

Cependant, elle ne nécessite pas une mise sous Tutelle. 

Juste une Curatelle renforcée.


La comptabilité de Madame Cécile MAGNE :


Là, c'est plus délicat.

Alors que "Madame Anne" continue à pomper sa mère en région parisienne avec la carte bleue maternelle qu'elle a volée (400 + 300 euros en janvier 2014, 300 euros en février 2014) :




Madame Cécile MAGNE reçoit des rappels d'impayés pour les charges de ses appartements de Pau (Cabinet GABAIG), soit un total de 2 450,83 euros :

 




Ce qui fait un reliquat réel, sur le compte-courant de Madame Cécile MAGNE, de : 574, 78 euros.

Donc Agnès, qui avait l'habitude de faire la comptabilité de son laboratoire au centime près (entrées, sorties, reliquat), est obligée de prêter de l'argent à sa mère, afin de ne pas toucher aux économies de la pauvre femme (on ne sait comment tout cela va évoluer quant à la dépendance) :

 


Donc en mars 2014, Agnès a prêté à sa maman ... la somme de 2 349, 55 euros.

Heureusement, Madame Cécile MAGNE avait fait estimer les meubles et bibelots de son appartement de Pau et les avait mis en vente chez le commissaire-priseur GESTAS.

Elle reçut une coquette somme, qui lui permit de rembourser sa fille Agnès.

 

Bon, ça va un peu mieux sur le plan financier.


La police de Saint-Jean-de-Luz et la Justice de Bayonne à ce moment-là :


 Pour se sentir "soutenue", Agnès fait appel à une avocate (barreau de Bayonne) qui lui fut conseillée par la fille d'un golfeur.

L'avocate prend deux affaires en même temps : la plainte d'Agnès contre sa soeur pour abus de faiblesse sur leur mère, et la demande d'Agnès pour devenir curateur de sa mère.

Pas sûr que cette attitude de l'avocate soit vraiment déontologiquement au "top". Mais bon, Agnès n'est que médecin biologiste retraitée ... alors les règles du Droit ...

Agnès est convoquée à la Police le 13 mai 2014. L'avocate est là.


Puis Agnès est convoquée par la juge des tutelles au TI de Bayonne le 18 juillet 2014. L'avocate est là.

 


Ce RDV au TI de Bayonne ne se passe pas bien car Agnès s'entend dire par la juge des tutelles qu'elle est "indigne" d'être curateur de sa mère.

Curieux quand même, puisqu'Agnès a recueilli sa mère chez elle, lui a prêté de l'argent et s'occupe de sa comptabilité au centime près.

Fin 2014, Agnès apprend par la police qu'elle ne sera pas nommée curateur de sa mère.

Elle envoie des mails peu amènes à l'avocate, qui s'est quand même fait payer  ... 1 800 + 2 400 euros = 4 200 euros ... olé !

La réponse en LRAR de l'avocate n'est pas à piquer des vers puisqu'elle raconte n'importe quoi !

 



Agnès largue l'avocate, d'autant qu'elle apprend qu'elle ne peut porter plainte à la place de sa mère avant d'être nommée curateur.

Une avocate ne sait pas cela ?

TARATATA !

Heureusement ...


Sans oublier qu'Agnès avait fait ce qu'il fallait concernant "Madame Anne" ...


Et vous, qu'en pensez-vous ?

A bientôt car ...

A SUIVRE ...

 

 

Eh bé, les galets à Dieppe, ce n'est pas folichon pour mes pattes ! Tu as bien fait de nous installer près d'une plage de sable.
 


dimanche 9 mai 2021

Années 2011 à 2014 ... tout se précipite !

 

 

Bonjour mes ami-e-s.

En 2011, "Madame Anne" ne reçoit que 7 465 euros de sa mère Madame Cécile MAGNE.

C'est une année de disette pour "Madame Anne" car sa mère Madame Cécile MAGNE paie de gros travaux pour l'immeuble de Dieppe (dont "Madame Anne" est nue-propriétaire) et aussi énormément d'impôts. 

 


 

Pour Dieppe, travaux payés par Madame Cécile MAGNE en 2011:

10 827 euros.

 


 

Ecriture de Madame Cécile MAGNE. Impôts payés en 2011:

21 635 euros.


Par ailleurs, Monsieur Charles GOUINGUENET est sous tutelle. 

Donc il n'y a pas grand chose à attendre de ce côté-là, à part le virement mensuel de 400 euros.

Agnès pense à son papa et va le voir tous les mois.

"Madame Anne" finit par accepter le transfert de son papa à Billère, où habite Agnès (voir première photo). 

Agnès va chercher son papa le 22 mars 2011, en prenant l'avion. Ils redescendent tous les deux à Billère en taxi-ambulance. Charlick est fou de joie de voir la route défiler, lui qui est enfermé depuis presque 2 ans.

 

 

Notons que "Madame Anne" ne perd pas le Nord, puisque le 23 mars 2011, elle est à Pau (donc tout à côté de Billère), pour demander un chèque de 1 000 euros à sa mère, Madame Cécile MAGNE, ex-de Charles GOUINGUENET.

 


En 2012, "Madame Anne", qui a accepté le transfert de son père à Billère, demandant à Agnès d'aller le voir "presque tous les jours" ... écrit une LRAR (voire plusieurs) à la Cour d'appel de Pau, afin qu'Agnès n'ait surtout pas la tutelle de leur père.

Souvenons-nous :


Donc Agnès est saine d'esprit pour promener leur papa, mais psychotique délirante pour s'occuper de ses sous.

Diffamation prouvée, quand tu nous tiens !

Côté Cécile MAGNE, "Madame Anne" ne perd pas le Nord, puisqu'elle reçoit 12 000 euros en chèques en 2012.

Aucune déclaration aux impôts de ces 12 000 euros.

Le 26 mars 2012, décès de Charles GOUINGUENET à l'hôpital de Pau, service de pneumologie. Cela n'a pas traîné. Agnès demande une autopsie des poumons car elle ne comprend pas pourquoi il a fait une fausse-route cataclysmique dans un service spécialisé pour les poumons.

"Madame Anne" refuse ... 

Qu'aurait-on découvert ?

"Madame Anne" ne perd pas sa boussole car ce même 26 mars 2012, elle demande à sa mère un chèque de 1 000 euros.

 


 

On comprend que "Madame Anne" ne déclare pas les 12 000 euros de dons maternels 2012 pour "soutien familial", car elle a reçu, en cette année 2012 ... 451 950,83 euros d'héritage paternel ... Les impôts n'auraient pas compris ...



En 2013, "Madame Anne" reçoit donc le solde de l'héritage paternel, soit 172 972,95 euros, et continue à demander de l'argent à sa mère Madame Cécile MAGNE, soit 11 000 euros par chèques durant le 9 premiers mois de 2013.

Puis la carte bleue de Cécile MAGNE part faire un petit tour à Paris et Boulogne-Billancourt en novembre 2013.

 


Rien n'est déclaré aux impôts, forcément.

Donc Madame Cécile MAGNE va encore payer plein pot !

 





Dons "déguisés" non déclarés en 2013 : 11 000 euros de chèques + 1 850 euros retirés à Paris et Boulogne-Billancourt avec la carte bleue volée.

 

Agnès recueille sa mère chez elle à Saint-Jean-de-Luz en mars 2014.

Madame Cécile MAGNE est rapidement protégée par la Justice de Bayonne (Tribunal d'Instance et non TGI), le 30 juin 2014, jour de ses 94 ans. 

 


Ce qui permet d'attendre tranquillement pour le jugement de Curatelle renforcée, nommant Agnès (la soi-disant "dingue dangereuse psychotique") comme curateur officiel à compter du 15 janvier 2015.

 


A partir de mars 2014, "Madame Anne" ne reçoit donc plus un centime de sa mère Madame Cécile MAGNE (vidange du coffre-fort, héritage paternel, nombreux chèques maternels dont beaucoup ne sont pas déclarés au fisc, carte bleue maternelle à Boulogne-Billancourt ...).

Par contre, Monsieur le Procureur de la République de Bayonne, Monsieur Samuel VUELTA-SIMON, considère que "Madame Anne" est blanche comme neige.

 




 

Puisque "Madame Anne" a reçu des donations, dont elle ne profitera qu'au décès de sa mère, Madame Cécile MAGNE est-elle désormais en danger de mort ? 

 

Merci la Justice injuste de France ! 

Merdre ! 

 

Et vous, qu'en pensez-vous ?

A bientôt car ...

 

A SUIVRE ...

 

 

Dis, Agnès, c'est moi ISHA, ton amie celte hébraïque.

Charlick me demande : "Elle est où ?"

C'est vrai qu'on ne la voit plus.

J'étais bien pourtant, sur le fauteuil avec elle.

 


 


samedi 8 mai 2021

Année 2010 ... olé !

 

Cécile à 98 ans, avec Isha, du côté de Royan ...

 

 

Charlick à 90 ans, du côté de Billère, non loin du golf, un peu stressé car il ne voyait plus très bien (DMLA)

 

Bonjour mes ami-e-s.

Or donc, durant l'année 2010, "Madame Anne" reçut de sa mère la somme de :

11 340 euros  

Rien ne fut déclaré aux impôts, si bien que Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET paya des impôts plein pot, et "Madame Anne" rien du tout..

Bien joué pour "Madame Anne".



Durant l'été 2010, que faisait donc Agnès ?

Elle travaillait pour payer l'emprunt qu'elle avait contracté pour acheter son petit appartement de Billère.

Quelle plouque !


Moins sotte, "Madame Anne" se balade à Vannes, à Pau, à Paris.


 

Le 20 juillet 2010, "Madame Anne" se fait un chèque de 1000 euros à Vannes, avec le chéquier de son papa, Charlick GOUINGUENET, enfermé à L'Hespérie à Arradon (56). 

Le 24 juillet 2010, "Madame Anne" se fait un chèque de 1000 euros à Pau, avec le chéquier de sa maman, Cécile MAGNE ex-GOUINGUENET.

Le 26 juillet 2010, décès à Vannes d'Hélène GOUINGUENET, née REGNAULT, seconde épouse de Charles GOUINGUENET. Jour de Sainte Anne, cela ne s'invente pas !

Agnès "la sotte qui bosse" n'est pas prévenue.

Le 27 juillet 2010, le chèque maternel (536) est touché par "Madame Anne" à Paris.

Le 29 juillet 2010, "Madame Anne" fait un retrait d'argent liquide à Vannes, sur le compte paternel. 



Le 31 juillet 2010, la carte bleue de la morte est déclarée perdue à Vannes

Le 2 août 2010, "Madame Anne" retire de l'argent avec la carte bleue paternelle à Vannes, puis repart à Paris où elle touche le chèque qu'elle s'est fait le 20 juillet 2010 avec le chéquier paternel. Elle l'avait oublié, sans doute ...

Le 12 août 2010, "Madame Anne" retire de l'argent liquide à Vannes, sur le compte de son père enfermé.

Ayant terminé son remplacement à Strasbourg, Agnès décide d'aller voir son papa pour le promener.

Ne sachant pas qu'Hélène est décédée, Agnès descend à l'hôtel IBIS de Vannes (Menimur).


Des amis la préviennent du décès d'Hélène.

Agnès découvre "Madame Anne" et son copain Ferenc, installés dans l'appartement de leur père et de la défunte, couchant dans le lit conjugal du père enfermé et de la morte.

Pourtant il y avait une chambre d'amis.

Olé !

Agnès exige de "Madame Anne" un écrit acceptant qu'une dame de compagnie vienne voir leur papa, devenu veuf et ne le sachant pas, n'ayant donc plus aucun signe de vie de feu son épouse (qui venait le voir, puis, trop souffrante, lui téléphonait régulièrement).

"Je soussignée, Anne Gouinguenet, demande à Madame Nadine Le Prado, de rendre visite à mon père à l'Hespérie". Anne Gouinguenet. Fait le 23.8.2010.

 

Agnès rend visite à son papa, qui ne cesse de demander : "Elle est où ? Elle est où ? Elle est où ?

Agnès dit alors : "Elle est au ciel". 

Charles GOUINGUENET accuse le coup, mais est rassuré  car "Elle" ne l'a pas abandonné. 

Puis "Madame Anne" va chercher un chèque à Pau le 26 août 2010 ...


Le 28 août 2010, Agnès écrit à la juge des Tutelles de Vannes, laquelle protège Charles GOUINGUENET sur le champ.

 


Sympathique, cette histoire !

Et vous, qu'en pensez-vous ?

A bientôt car ...


A SUIVRE ...

 

Charlick et sa maman, ma mamé.

Cécile et "sa" Dolly.

Hop là, c'est moi ISHA !

On va voir la mer ?


 Yes, ISHA, la celte Yorkshire génétique, culturelle hébraïque.