mardi 28 septembre 2021

Témoignage : seconde injection intra-musculaire de vaccin anti Covid -19 hautement dangereuse.


 Que c'est beau !


Bonjour mes ami-e-s et autres.

Vivant au grand air et mettant un masque chirurgical NEUF à chaque fois que j'allais faire des courses, pouvant alors rencontrer des gens, je n'avais pas jugé utile de me faire vacciner contre la Covid-19. 

Mon installation à Lacanau et Lacanau-Océan étant terminée, je décide de me remettre au sport.

De ce fait, je vais croiser des bipèdes hominidés. DANGER potentiel, car on ne met pas de masque au grand air.

Tout naturellement, je décide de me faire vacciner, d'autant que le médecin généraliste qui habite non loin de chez moi à Lacanau me le conseille fortement.

Prélèvement naso-pharyngé pour recherche directe de Sras-Cov2 par PCR le 1 septembre 2021. A domicile, par une IDE (Infirmière Diplômée d'Etat).

Résultat le soir même : négatif.

Donc première injection de vaccin effectuée le 2 septembre 2021, au pôle de l'Aiguillonne à Lacanau. Je demande une recherche d'anticorps : négative.

Je n'ai donc jamais rencontré Sras-Cov2 de ma vie.

Tout se passe bien.

Je prête ma maison à un couple d'amis du 4 au 12 septembre, logeant dans mon petit T2 face à la mer (je suis assez partageuse).

Je reçois ma deuxième injection de vaccin anti-Covid-19 le vendredi 24 septembre vers 14h.

Je vais dans la salle de repos (fait-on cela pour une vaccination anti-tétanique classique ?), discute avec une secrétaire charmante qui me montre comment utiliser mon pass sanitaire sur mon smartphone, puis je ne me sens pas bien. 

Je dis : "Je ne me sens pas bien".

On m'amène un fauteuil roulant et je m'allonge dans une petite salle. Je pense à un malaise vagal, car j'en ai déjà fait.

Une infirmière petite et plutôt brune me brusque, me dit méchamment qu'il faut que j'allonge mes jambes (je suis plus à l'aise avec les genoux pliés et lui dis fermement) et le médecin arrive.

CE N'EST PAS UN MALAISE VAGAL CAR J'AI UNE TENSION ARTERIELLE ELEVEE.

Le médecin (retraitée "bénévole") me dit que les poussées d'HTA (Hyper-Tension Artérielle) sont classiques avec ce vaccin.

Première nouvelle en ce qui me concerne.

Au bout de quelque temps, ces gens du soin me disent de quitter les lieux (bref, ils me virent). La petite infirmière me dit de façon agressive : "Mais vous n'avez pas 25 de tension !". Ce à quoi je lui réponds qu'à 25 de tension, des artères cérébrales de 71 ans pètent, d'où mort ou séquelles dramatiques.

EFFARANT DE MANQUE D'EMPATHIE, VOIRE DE DANGEROSITE.

Je rentre chez moi en voiture, cahin-caha, avec le pantalon encore dégrafé.

Je m'allonge et prends régulièrement 1/4 de comprimé d'Avlocardyl 40, car j'ai des extrasystoles bénignes mais gênantes depuis des années. 

Dès que j'ai une poussée de tension, je le sais car j'ai une envie impérieuse de pisser.

Il y a donc, dans ce que l'on m'a injecté, un stimulateur des cellules musculaires lisses CML (présentes dans les parois artérielles et dans le detrusor, qui est le muscle de la vessie).

Bénin pour certain-e-s, mais GRAVE pour d'autres.

Le samedi, je suis restée allongée toute la journée, très mal à l'aise, avec maux de tête permanents (ce que j'avais rarement).

Le dimanche, j'ai réussi à aller dans mon T2 en voiture pour aller chercher un petit tensiomètre que l'on met au poignet, et que j'utilisais pour prendre la tension de ma vieille maman lorsqu'elle vivait chez moi à Saint-Jean-de-Luz.

Hier lundi, je vais à la pharmacie pour me procurer de l'AVLOCARDYL 40 et aussi du LEXOMIL car le stress est très mauvais pour la santé cardio-vasculaire.

Ce matin mardi, j'ai une tension artérielle au réveil à 16/10 ce qui est mauvais (c'est le 10 qui est fâcheux, car c'est la tension permanente au niveau des parois des artères et artérioles).


AU TOTAL :

 

- Si je n'avais pas eu d'Avlocardyl chez moi, je risquais une merde style AVC, d'autant que personne ne connaît l'état de mes artéres et artérioles cérébrales.

- Si je n'avais pas eu d'Avlocardyl chez moi, je risquais un excès de tension au niveau de mes artères coronaires, voire un angor, voire un infactus du myocarde.

- Et ce n'est peut-être pas fini concernant des complications cardio-vasculaires potentiellement mortelles.

 

CONDUITE A TENIR :

 

Porter plainte pour mise en danger de la vie d'autrui en toute connaissance de cause (ce qui équivaut à une tentative de meurtre) ?


 

D'autant que certain-e-s aimerai-en-t bien que je trépasse au plus vite, pour profiter d'un argent volé à une succession maternelle.

Pourtant, cet argent bloqué pourrait aider des gens innocents en difficulté.




 Ah ben non, pas encore !


lundi 20 septembre 2021

La dénonciation calomnieuse. Définition et peines encourues.

 

Ouaouh ! C'est beauoooo ...

 

Bonjour mes ami-e-s et autres.

 

Connaissez-vous la définition du délit de dénonciation calomnieuse, et ce que risque l'auteur-e de ce délit ?

 

Voici les réponses à ces deux questions (trouvées sur Internet) : 


La dénonciation calomnieuse constitue un délit puni par le Code pénal à l’article 226-10. Les textes la définissent comme la dénonciation d’un fait que l’on sait inexact. Pour constituer un délit, la dénonciation calomnieuse doit présenter les caractéristiques de la liste suivante :

  • Les faits dénoncés sont totalement ou partiellement inexacts ;
  • L’auteur est en connaissance de cause ;
  • La dénonciation est faite auprès d’une autorité qui a le pouvoir d’y donner suite ;
  • Elle doit être spontanée ;
  • Elle engendre des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires pour le prétendu auteur.

L’auteur de la dénonciation calomnieuse risque une peine de 5 ans de prison assortie de 45 000 euros d’amende.

  

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Texte de l'article 226-10 de notre Code pénal :

 

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000034009375/

 

C'est clair, net et sans bavure.

 

A bientôt car ...

 

A SUIVRE ...

 

 Et la lumière fut !

  

Justice débordée par des allégations diffamatoires hystéroïdes.

 

On est loin des grandes déclarations mensongères hystériques de com' ... on respire la réalité des choses !

 

Bonjour mes ami-e-s et autres.

Vous avez passé un bon été ? Alors c'est parfait. Moi aussi.

Figurez-vous que je commence à comprendre pourquoi la Justice française est débordée.

Nous vivons une époque de com' à outrance, avec de nombreuses "fake-news", voire des allégations diffamatoires.

En voici un bel exemple.

Si vous suivez ce blog, vous savez, preuves à l'appui, que j'ai passé 10 ans de ma vie à protéger mes deux vieux parents, l'un après l'autre, des appétits financiers boulimiques de certain-e-s.

Or, voilà ce que mademoiselle Anne GOUINGUENET fait dire à ses avocats à propos de notre maman, madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET.

Il s'agit de faits décrits à l'attention d'un juge.

Ces faits falsifiés ont nécessité une audience au TGI de Bayonne, devant le juge de mise en état.

Il n'a pas autre chose à faire ?

Voilà les faits, tels que rapportés par mademoiselle Anne GOUINGUENET et donc par ses défenseurs, qui ne sont peut-être pas au courant des antécédents de mademoiselle Anne GOUINGUENET (ce n'est pas parce que c'est ancien que cela n'a pas eu lieu; il faut arrêter l'irrationnel, là) :


Souvenons-nous que mademoiselle Anne GOUINGUENET est capable d'écrire une LRAR hautement diffamatoire à la cour d'appel de Pau, concernant sa propre soeur le Docteur Agnès GOUINGUENET.

Rappelons-nous que la dite psychotique délirante, paranoïaque et dangereuse Agnès GOUINGUENET ... fut nommée curateur de leur mère en janvier 2015, soit 3 ans APRES la lettre hautement diffamatoire.

C'est dire le crédit que porte la Justice de Bayonne aux fabulations perverses de mademoiselle Anne GOUINGUENET, laquelle fut exclue de toute décision de justice concernant sa mère en 2014 - 2015 puisqu'elle lui avait volé sa carte bleue en novembre 2013.


Comment des avocats peuvent-ils faire perdre leur temps à des magistrats, tentant de défendre des propos mensongers et diffamatoires, preuves à l'appui ?

Ce n'est tout de même pas une question d'argent à se faire en défendant l'indéfendable déni de la réalité des faits !

Et la déontologie ? Et la conscience professionnelle ? Et la vérité des preuves, face à des allégations haineuses obsessionnelles compulsives ? Et la Raison ?

On est où, là ? !

 

ET LA JUSTICE "JUSTE" DANS TOUT CELA ?

ET LA FRANCE, ETAT DE DROIT ?

L'ARGENT N'EST PAS LE PROBLEME ICI, MAIS LE PRINCIPE D'EGALITE DE TOUTES ET DE TOUS DEVANT LA LOI.


    Les premières châtaignes du jardin ! C'est beau.


Sympa notre terrasse !

Les haies sont encore mini, mais bon, ça pousse +++

 
Et cela, quand on veut !

 

VIVE LA VIE AU GRAND AIR !