dimanche 15 juillet 2012

REQUIEM DABI, PREUVES A L'APPUI (ET SI DIEU ... TOME II - VERSET VII).



Résumé des versets précédents :

Pauline découvre avec tristesse que le Dieu de son enfance naquit dans le cerveau de ses ancêtres, quel que soit leur lieu de naissance terrestre.

Le surnommant DABI afin d'insister sur ses quatre principales composantes culturelles, elle s'en remet à l'éternelle et donc rassurante lumière des deux astres rythmant nos vies, le soleil Râ (Egypte ancienne) et la lune Méné (Grèce antique).

Aimant les expériences faisant évoluer la connaissance de l'être humain, elle imagine la disparition de DABI, ce qui semble facile puisque cette tétranité relève de l'hypothèse.

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Toujours endormie, Pauline s'envolait, grisée par un incontrôlé apaisant, une déraison salutaire, une folie bienheureuse, une étonnante évasion in situ.
Elle avait remarqué sa petite chienne Ethique bouger et couiner en plein sommeil paradoxal. Etions-nous encore capables de manier des concepts d'abstraction en l'absence de réflexion consciente ?
-  Alors c'est cela le Paradis, s'émerveilla-t-elle ! Ne ressentir que le bon, sans contrainte, ne rien désirer que l'on ne possède déjà puisque personne n'est en manque, être comblé et le savoir.
-  Tout en tous, c'est en effet mieux que rien en personne, pléonasma l'évanescent Dabi.
-  Cela me rappelle quelque chose, sommeilla Pauline.
-  Si tu es aux cieux, même via Morphée, tu n'as plus besoin de mémoire, émit l'aérien tétralettré.
-  1 Co 9, 22.
-  Et si tu lis 1 Co 9, 23 (pour les non-initiés : Nouveau Testament. Première Epître de Paul de Tarse aux Corinthiens, chapitre 9, verset 23; ce texte est un monument de beautés et de stupidités, typique du paradoxe humain), tu comprends que Paul se démène comme un beau diable pour en avoir sa "part", du tout ... Bel égoïsme du don !
-  Restons zen, en harmonie avec nous-mêmes, bailla Pauline.
-  Depuis l'avènement de la musique moderne, j'ai du mal à garder mes quatre mélodies intimes sur leur portée respective, dissona Dabi.
Le chien du voisin aboya en do majeur et le fils d'Hypnos s'envola vers d'autres contrées. Pauline se réveilla, mal à l'aise. La pendule affichait 7 heures du matin. Râ vaquait à ses occupations chaleureuses. Méné grasse-matinait peinard. Dabi avait disparu.
Insatisfaite, Pauline s'exerçait à des comparaisons. Papa est vivant mais absent (nous sommes en 2008, ndl'auteure), Mamé (grand-mère chérie, mère de papa) est décédée. J'y pense donc ils sont, se dit-elle un brin cartésienne. J'en déduis que la mort du corps n'empêche pas de vivre dans l'esprit des vivants.
-  Ou dans leur rêve, leur imaginaire, leur mémoire, rectifia Dabi, le non-être auquel songeait Pauline.
Ouh là là ! Nous sommes sur une pente savonneuse. Je réfléchis à Dabi. Il fut, est, ou sera, accompli ou non pour les hébraïsants, ce qui signifie terminé ou non, que ce soit avant, pendant ou après, peu importe le moment. Or, Il est parti. Quel-le est-Il-Elle ? Où est-Il-Elle ? Va-t-Il-Elle quelque part ?
-  J'y suis, j'y reste, macmahona Dabi.
Comment peut-on rester là où l'on n'est pas ?
-  En revenant sur ses pas mais sur place, fusa Méné inspirée.
Les synapses corticales de Pauline frôlaient leur vitesse maximale. L'auteure se sentait survoltée. Attention, danger court-circuit.
-  Cherchez, vous trouverez, jésuchrista Dabi (Matthieu 7, 7 ou bien Luc 11, 9).
Facile à dire, pensa Pauline. Que trouver si l'on ne sait quoi chercher ?
-  "Tout le monde recherche d'être heureux, cela est sans exception", blaisepascala Râ.
Pas besoin d'être né au XVII ème siècle chrétien pour en arriver là !
-  Euréka, archiméda Dabi.
Mais c'est inouï ! Voilà qu' "Il" "se" trouve, maintenant !
-  G'nauti séautone, socrata Méné.
Certes, certes, mais avec la technique de Sigmund, cela coûte très cher.
Depuis que nous avons découvert avec certitude que nous ne sommes pas grand chose dans l'univers, nous cherchons nos ancêtres pour nous rassurer, nous ancrer en une roche de solidité originelle. Les généalogistes peuvent se frotter les mains.
-  Misère, soupira Râ ! J'imagine mal l'arbre foisonnant de mes descendants. Quant à mes ascendants !
-  Et moi donc, répliqua Méné ! Tout cela n'est que billevesée de vertébré sexué !
Pauline peinait à mettre de l'ordre dans ses réflexions. Cela partait dans tous les sens.
-  Comme les rayons de moi, se dispersa Râ.
L'auteure gardait le fil. En résumé, Dabi avait pris la poudre d'escampette, jouant les oncles d'Amérique.
Pauline s'évertuait à définir les caractéristiques de son néant, afin de mieux dessiner les contours précis de son existant.
Elle ne comprenait pas, la pauvrine, que le flou artistique modèle l'au-delà de l'être, qui n'est pas forcément sa négation. Râ et Méné l'aidaient à garder son bon sens, à rester les pieds sur terre.
Il valait mieux ne point "perdre l'esprit" avant de "rendre l'âme", histoire de ne pas gâcher le prêt (et non le cadeau, puisque la vie se paie souvent très cher en intérêts-douleurs, nous le savons tou-te-s).
Elle fit un court séjour à Paris, le temps d'admirer la Place des Vosges enivrée de soleil et le cheval de Louis XIII emballer son immobilité.
Etonnante impression de mouvement, sans motricité réelle.
L'art permettait une communication de sensations entre les êtres humains, souvent plus directe et donc universelle que l'écriture pédagogique.
Finalement, les religions des Livres avaient fait leur temps.
Contrairement au dicton populaire, les écrits ne restent pas,  car ils représentent souvent la preuve des erreurs passées de la pensée humaine.
L'auteure écrivait dans le TGV Paris-Dermate.
-  Vu d'en-haut, ton ver de terre métallique fait du surplace, railla Râ.
-  Ce qu'il vous faut inventer pour combler vos insuffisances par rapport à vos exigences, enremitunecoucha Méné !
-  Vous devriez nous féliciter de notre ingéniosité au lieu de vous gausser, s'énerva Pauline, consciente du ridicule cosmique de sa soi-disant avancée ferroviaire.
-  Heureusement que nous n'empruntons pas les transports en commun, s'exclamèrent Râ et Méné ! La mondialisation serait cul par dessus tête pour de bon. Point besoin de krach boursier pour arriver au chaos terrien.
Dabi effleura les pensées.
-  L'attraction universelle mutuelle vous empêche de divaguer comme nous, s'émut Pauline, trouvant que c'était là une jolie définition de l'Amour avec un grand A.
-  Point trop n'en faut, rectifia Râ. Qui s'y frotte s'y brûle les ailes d'Icare.
-  Qui trop embrasse est "mal armé", pontifia Méné la poétesse.
-  "Mal être un", lacania Pauline amusée.

Bien vivre seule, n'attendre rien d'autre qu'humer l'air de son propre temps d'à venir, effleurer l'harmonie du soi, frôler l'accord ontologique parfait, devenaient pour elle la plus douce des armures.
Elle avait trouvé sa devise :
Seule suis née, indépendante suis devenue.
C'était un pied de "nez" à certaines fraternités dont l'initiation commençait pas le "né" libre.
Pour satisfaire sa curiosité, elle lisait des ouvrages sur la Franc-Maçonnerie. Elle n'allait tout de même pas remplacer Dabi par Gadlu, d'autant que l'Architecte était fils (et non fille, ben voyons) du i de Dabi.
Les mystères de l'Eglise et les secrets du Temple ressemblaient diablement à un retour aux sources vers l'opacité intra-utérine primitive, soit l'inverse d'une re-naissance, d'une ré-surrection, d'une ré-génération. Les "enfants de la veuve" tuent le père en gardant la mère. Or, pour devenir libre, il faut quitter les deux.
En relisant Genèse 2, 24, elle comprenait que l'homme et la femme constituent les deux versants du même humain. Reprise en Matthieu 19, 5 cette péricope (court fragment d'écriture en exégèse) perdait son sens premier, sous l'influence de Paul de Tarse.
En hébreu vétéro-testamentaire (Ancien Testament), cela voulait dire ré-union des deux évidences d'un seul être, et en grec néo-testamentaire (Nouveau Testament), cela devenait union entre deux êtres sexuellement différents, condition sine qua non, à l'époque, pour faire des enfants; ce qui est un peu réducteur.
Après réflexion logique, il semblait possible d'utiliser et mélanger les deux concepts. Pauline en conclut qu'un couple réussi résultait de l'union entre deux êtres réunis en eux-mêmes. D'où l'extrême rareté du phénomène.  Ce n'était donc pas une question de sexe ni de sexualité, mais d'unité de l'être. Quant à la fécondation, elle se faisait déjà in vitro. En attendant l'utérus artificiel, libérant les femmes le désirant.
Relisant 1 Co 6, 15-20, elle comprenait l'énorme contresens effectué par Paul de Tarse. Aveuglé par la certitude d'avoir vu en songe le Sauveur avec un zizi, il jetait l'anathème sur l'autre sexe. Entre l'union avec la prostituée (donc la femme en général) et celle avec le Christ ressuscité (donc le mec-dieu désincarné, à savoir dieu le fiston enfin redevenu dieu le papa dans les cieux), il n'y avait pas photo dans l'échelle des valeurs, ben voyons.
Pauline découvrait d'où venait le rejet définitif de la dame dans la spiritualité chrétienne : Paul de Tarse l'avait écrit ! Empêcheuse de tourner en rond, la Femme osait se substituer à Jésus le Sauveur pour détourner l'union de l'homme-mec à l'Esprit de son Créateur (car c'est bien connu, une créatrice spirituelle, cela n'existe pas).
Tout être humain doit, pour fusionner avec l'Esprit (Saint) de son Créateur, en passer par le Corps (et le Sang) d'un homme-Fils XY, le Christ.
Pauline en déduisit que Jésus était le "mec-vé", bain purificateur nécessaire à toutes les femmes en âge de procréer, ontologiquement impures car sans Y, et aux hommes qui avaient eu la faiblesse coupable mais réparable de s'unir à elles, voire entre eux.
Dans la Trinité chrétienne, trouver la Dame relevait de l'entêtement psychiatrique puisqu'elle était une plante à peine améliorée. Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Esprit-Saint. Vive la femme ! Les messieurs avaient tellement peur de perdre leur virilité phallique (zizi circoncis ou non) qu'ils préféraient la dés-érotiser, pensant à tort que la sexualité étant la vie (là oui), l'absence de sexualité était donc la non-mort (là non). Pour échapper à thanatos (décès en grec), les hommes-mecs (dieu les fils) retournent vers leur originel, leur créateur, leur début, leur fondateur nourricier, leur transmetteur de chromosome Y, leur matrice masculine (dieu le papa).
Afin d'éviter tout dérapage incestueux pédophile nauséabond, les inventeurs de la Trinité chrétienne trouvèrent une arme gynécolytique (tueuse de femme en grec) imparable; les sexes physiologiques du père et du fils disparaissent et sont remplacés par un symbole phallique sublimé spirituel, permettant un subtil mélimélo. L'original se donne à sa réplique et s'en nourrit. Génial ! D'ailleurs, chez les chrétiens non protestants, cet esprit redoutablement efficace féconde Marie Myriam, ni vu ni connu.

Pauline se demandait d'où venait le chromosome Y de Jésus.
C'était devenu une question majeure quant à l'historicité de ce Sauveur au masculin.

Finalement, Pauline ressentait une émotion tendre face à la terreur de la plupart des hommes à l'idée de perdre leur virilité physiologique. Quel dommage de la limiter à un zizi même sublimé !

Un bonhomme, c'est bien mieux que ce qu'il pense de lui, se dit-elle.






16 commentaires:

  1. Hello Agnès

    Pas d'accord du tout avec votre interprétation de la Genèse. Au contraire les juifs qui sont quand même les spécialistes de ces écrits font bine la distinction homme-femme. Mais certains écrits talmudiques disent que l'homme n'est homme que s'il a une femme, car pour eux ce n'est pas une côte que Dieu a prélevée mais la queue de l'homme encore un peu singe et en a fait la femme. De ce fait l'homme est débarrassé de son animalité ;-))
    enfin ce que j'en dis !!!!!
    A+

    GR

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  2. Ciao Gaétano !

    Toujours en vacances ? Veinard ! Personnellement, je ne suis pas en vacances, car là où j'habite, c'est quasiment le nirvana permanent. Limite canicule aujourd'hui !

    Et la guenon, vous en faites quoi ?

    Pokigoù.

    AG à GR.

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  3. Hi Agnès

    Non hélas pas en vacances , nous avons du rentrer plus tôt ma femme (et oui !!) s'étant fait une entorse grave , se trouve plâtrée et j'assume la vie de la maison. Je devais aller faire de l'hébreu à Bayonne c'est annulé .

    je n'ai pas parlé de guenon , maintenant ce que j'en dis ce sont les sages du talmud , voyez avec eux (Professeur Jérôme Bennarosch à l'Institut Rachi à Troyes)

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  4. Ciao Gaétano !

    Désolée pour votre épouse à laquelle je souhaite un prompt rétablissement.

    Courage pour vos tâches ménagères multiples, mais vous ne semblez pas "empoté".

    La prochaine fois que vous projetez Bayonne, faites-moi signe ! Il y a de bons restaurants dans le coin.

    Afoù.

    AG à GR.

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  5. Hé , Hé,

    Pourquoi pas ?

    mais les sessions d'hébreu ont lieu à des endroits différents chaque année, alors Bayonne ?
    Mais en général nous sommes pris toute la journée par les cours et le soir c'est coucher de bonne heure ou révision !

    Muxus

    GR

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  6. Ciao Gaétano !

    Ma foi, je respecte votre art de l'esquive ...

    J'espère tout de même qu'un jour nous nous rencontrerons.

    Belle journée ! (ouh là là, ici il fait chaud !).

    Bouchoù.

    AG à GR.

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    1. Hello

      pas esquive mais explications . tout dépend des enseignants et des sites où ils sont déjà allés. Il y a même un stage à Venise , mais pas pour moi en août !!!

      Muxus

      GR

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  7. Ciao Gaétano !

    Pas stupides, les enseignant-e-s en théologie ...

    Ah Venise !

    Un peu comme les congrès médicaux, organisés dans des endroits de rêve.

    Remarquez, l'utile fait bon ménage avec l'agréable.

    Afoù.

    AG à GR.

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  8. Pas enseignant(e)s en théologie , mais en langues bibliques , il y a donc des Chrétiens , des Juifs , des Athées etc....
    Et c'est une assoce qui bien que fondée par un prêtre n'est pas confessionnelle

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  9. Y'a des musulmans ? Car tout de même Abraham ...

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  10. Bonjour Agnès

    non pas de musulmans (à ma connaissance)mais ce ne serait pas interdit*. Toutefois comme ils considèrent que juifs et chrétiens ont falsifié les Écritures , ils ont le Coran.

    * là où je vais faire retraite chez des Bénédictins , ils ont eu un musulman!!
    Par contre l'hébreu se sert beaucoup de l'arabe et mes dictionnaires me donnent souvent des racines arabes, qui non utilisées en hébreu comme verbe y ont laissé trace pour certains mots

    Voilà , voilou

    Bon Week end

    GR

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  11. Ciao Gaétano !

    Ouais.

    Eh bé, nous ne sommes pas sorti-e-s de l'alberga !

    La mère d'Abraham aurait du bénéficier de l'IVG au début de sa grossesse, avec remboursement par la sécu.

    Parce que, bonjour la plaie !

    Bouchoù.

    AG à GR.

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  12. Bonjour Agnès

    Vous savez Abraham est une figure , un mythe comme son fils Isaac et petit-fils Jacob .En fait Abraham peut signifier Grand Père , c'est à dire l'ancêtre fondateur.Qu'il y ait eu une personne s’appelant ainsi pourquoi pas , mais je doute que ce soit celui des Écritures. En fait la partie historique commence avec peine avec Moïse et encore !! Et là Pharaon avait ordonné la contraception obligatoire !!!

    Bonne semaine

    GR

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  13. Ciao Gaétano !

    Ah mais la régulation des naissances, ce n'est pas nouveau ...

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Contraception_dans_l%27%C3%89gypte_antique

    A propos, j'ai oublié de mettre mon dernier billet Médiapart sur Blogspot ...

    http://blogs.mediapart.fr/blog/agnes-gouinguenet/280712/ivg-du-nouveau-en-espagne-tout-pres-de-chez-nous#comments

    J'y cours ...

    Pokigoù.

    AG à GR.

    N.B. Meilleure santé à votre épouse; attention aux marches de l'échelle de Jacob ...

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  14. Ave Agnès

    toujours avec des problèmes , ma pauvre femme se trouve avec des escarres et on arrivait tout doucement à la gangrène !! Bref en ce moment c'est panique à bord .
    Le drame des femmes c'est que vous êtes trop dures au mal , moi le médecin je l'aurai déjà vu 10 fois !!

    Et la fille veut que je fasse un procès à l'hopital

    A+

    GR

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  15. Ciao Gaétan.

    Ouh là là, sale été pour la famille Ribault !

    Mais les escarres sont moins douloureuses que l'artérite; c'est peut-être la raison du "silence" de votre épouse.

    D'après ce que je comprends, il y a une surinfection bactérienne de l'escarre; avec les antibio et du soin infirmier +++, cela devrait aller mieux. Il faut que votre épouse régénère sa peau; or, la bactérie l'en empêche, prenant pour sa croissance à elle, toute la nourriture "locale" (amenée par le sang, car le sang c'est la vie; allez, j'essaie de vous faire sourire malgré tout, en évoquant le "corps et le reste").

    Avant de perdre de l'énergie à vous énerver contre l'hôpital (il sera toujours temps, mais je comprends la fureur de votre fille), concentrez-vous sur le mieux-être actuel de votre épouse, qui a besoin de toute votre force.

    Ayez confiance en votre médecin généraliste traitant; c'est son pain quotidien.

    Je vous embrasse et attend de vos nouvelles.

    A très vite.

    Agnès.

    N.B. L'infection n'est que locale, j'imagine; vous a-t-on parlé d'hémocultures (recherche d'infection dans le sang circulant) ?

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