mardi 19 juillet 2011

COMPLICITE ET NON-DENONCIATION : PROBLEMATIQUE A LA MODE.

Ejaculation symbolique ...


Bonjour mes ami(e)s.

Lorsque le musicien titulaire Monsieur LR, en début de messe et en la tribune d'un orgue basque, me roua de coups et risqua me faire tomber dans le petit escalier en colimaçon, ce qui aurait pu me blesser grièvement ou me tuer, le prêtre qui officiait fut TEMOIN de cette agression physique et potentiellement meurtrière (c'est un peu différent, mais non moins grave qu'une violence sexuelle sans risque vital); en effet, je criais et l'orgue ne jouait plus ! ...

Devait-il contacter la Justice ? OUI. Ce curé est responsable et coupable de non-dénonciation complice.

Un autre prêtre (mon confident) fut prévenu des faits et me demanda d'écrire et envoyer une lettre à l'agresseur (missive qu'il me dicta), ce que je fis d'ailleurs, terrifiée. Si je m'étais fait "tabasser" c'était bien sûr de ma faute; la preuve, l'agresseur a porté plainte contre moi !...

Ce deuxième curé devait-il dénoncer le fou frappeur ?
Bénéfice du doute ? Il était mon "écouteur" mais je ne l'ai jamais considéré comme mon confesseur (je ne crois pas en la moindre supériorité de la curaille sur la non-curaille). Donc aucun secret professionnel.

Un petit indice réflexif dans cette affaire : il existe une non-dénonciation passive activement complice, et une non-dénonciation agissante, passivement complice, mais essayant d'empêcher la récidive.

Un(e) ami(e) non témoin me paraît beaucoup moins impliqué(e) que, par exemple, la famille proche au courant des faits.

Et vous, qu'en pensez-vous ?


Intériorité fallacieuse.



A SUIVRE ...




2 commentaires:

  1. Bonjour AG

    Ignorant les circonstances de cette agression et ce qui l'a motivée , je suis toutefois surpris que vous n'ayez pas porté plainte car là vos abbés eussent du témoigner .

    Bon courage

    GR

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  2. Tchao Gaétano.

    Même si ce Môôôssieur massacreur de femme perdit ses nerfs, rien ne motive le passage à tabac d'une femme par un homme, surtout avec préméditation (j'avais prévenu cet organiste psychofragile, c'est le moins que je puisse dire, de ma visite à la tribune de l'orgue : Il aurait pu fermer à clé la porte de l'escalier, et m'empêcher de monter le voir, ce qu'il s'est bien gardé de faire).

    Le prêtre qui m'a dicté la lettre savait très bien qu'il me mettait en tête un sentiment de culpabilité, alors que j'étais la victime des violences physiques. Si Marie Trintignant n'était pas décédée (c'était au même moment), aurait-elle été accusée d'avoir "provoqué" les coups qu'elle a reçus ? Haute perversion misogyne ecclésiale, venant peut-être de plus haut, qui sait ?

    Résultat pour moi : Peu de temps après mon passage à tabac par ce représentant musical de votre foi chrétienne, un saut périlleux le 3 août 2003, qui aurait pu, là encore, me coûter la vie (ou pire me laisser gravement handicapée), et une plainte contre moi de cet organiste, alors que je suis hospitalisée. Cet homme et ceux(celles) qui le couvrent, ne sont-ils(elles) pas potentiellement pluri-meurtriers(ères) ? A quand la récidive ?

    Je n'ai pas porté plainte car l'on m'avait mis dans le crâne que j'étais coupable. Je me suis donc infligé à moi-même le châtiment.

    QUE PENSER DE CES PRÊTRES ULTRA-DANGEREUX ?

    Sachez, cher GR, que je ne suis toujours pas remise de cette terrifiante agression.

    Me comprenez-vous, vous l'ultracatho, chez qui je ressens une frêle fêlure, digne d'une belle humanité qui ne cherche qu'à naître enfin ? Allez-vous l'avorter ? Pour maintenir en vie votre Institution catholique, vous devez DENONCER ses fautes. En aurez-vous le courage ? Moi, je ne suis qu'une femme seule, donc désarmée.

    Merci de m'avoir gentiment lue.

    AG à GR.

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