samedi 19 juin 2021

Merci l'injuste justice de France (et de deux !).

 

 

Dis, Agnès, tu crois que Cécile et sa belle Husky Dolly se sont retrouvées au paradis ? Je trouve que notre jardin nouveau-né est vraiment bien pour moi, mais un peu petit pour Dolly. Par contre, il aurait été parfait pour ma prédécesseure Whestie Eosine, mascotte de ton labo.

 

Bonjour mes ami-e-s.

Juste un petit rappel concernant la valeur de la parole de Mademoiselle Anne GOUINGUENET. 

Durant les années 2012 et 2013, "Madame Anne" a reçu en héritage paternel environ 600 000 euros "cash".

Donc forcément, en 2013, "Madame Anne" se prend pour une financière hors pair. C'est qu'il "ne faut pas confondre". Il y a les "gens de rien" et il y a les autres ... 

 
Ecriture de Mademoiselle Anne GOUINGUENET ... A GARDER ...

 

 

Où l'on voit que "Madame Anne" s'occupe de la déclaration de revenus 2012 de sa mère Madame Cécile MAGNE ... mais oublie de déclarer qu'elle a reçu, en cette même année 2012 et de sa mère ... 12 000 euros de dons en chèques.

Donc non seulement Madame Anne fraude le fisc donc les autres Français-e-s, mais en plus elle fait payer plus d'impôts à sa mère, donc vole sa soeur.

Mais tout cela, pour "Madame Anne", c'est de la roupie de sansonnet.

Cependant ...

Passons.

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Durant les années 2015 et 2016, Madame Cécile MAGNE née ANQUETIN ex GOUINGUENET est domiciliée chez sa fille Agnès à Saint-Jean-de-Luz, et ce, depuis le 19 mars 2014.

Elle va bien, mais est sujette aux phlébites. On fait attention, on surveille, on traite.

Elle fait des séjours transitoires dans l'Ehpad PUTILLENEA à URRUGNE (64), qui vient d'ouvrir, et n'est pas trop cher. A part le premier séjour où l'on n'a pas mis ses bas de contention comme il fallait (inévitable début de phlébite, et Agnès fait une ordonnance en urgence un dimanche, pour une prise de sang le lendemain avec D-Dimères, marqueurs de la phlébite ... positifs !), tout se passe bien les autres fois. Le directeur d'alors, Monsieur SEGUIN, a compris (il est intelligent et gentil mais a fait toute sa carrière dans l'agro-alimentaire !) et fait surveiller Cécile.

Puis Madame Cécile MAGNE ne cesse de dire à sa fille Agnès : "Je t'encombre, je t'encombre ...".

Toutes les deux décident alors du placement définitif en Ehpad de Cécile, mais tout près d'Agnès, pour que les visites et promenades soient fréquentes.

A Guéthary, c'est très cher et sordide.

Nous retenons PUTILLENEA (très bien) et URTABURU (très cher).

Une place se libère à URTABURU. Petite déception, car on aurait préféré PUTILLENEA, mais voilà.

Il faut des sous, que Madame Cécile MAGNE ne possède pas avec le reliquat de sa comptabilité mensuelle (entrées moins sorties). 

Comme en France, on ne peut pas déshériter un enfant, Madame Cécile MAGNE avait gardé deux appartements lui appartenant à Pau, Résidence de France.

Elle n'avait pu les donner à "Madame Anne" car cela aurait été illégal.

Les deux appartements sont vendus et l'argent est placé sur le compte Société Générale de Madame Cécile MAGNE, à Saint-Jean-de-Luz. 

Directeur d'agence :


A Biarritz, c'est un certain Monsieur Mathieu LONGUEVILLE.

Sans s'en rendre compte, car finalement c'est sa part d'héritage, Agnès se fait embobiner par la Société Générale de Saint-Jean-de-Luz and Co, qui lui conseille de placer l'argent en une Assurance-Vie EBENE, qui sera pompée régulièrement pour payer le reste à charge de l'Ehpad URTABURU, quand Madame Cécile MAGNE en aura besoin. 

Bénéficiaires de l' Assurance-Vie EBENE : "les héritiers", donc Agnès et "Madame Anne" :

Où la Juge des Tutelles de Bayonne, Mademoiselle Isabelle LEGRAS, écrit le 1er août 2016, qu'elle autorise Madame Agnès GOUINGUENET, curatrice, à aider sa maman Madame Cécile MAGNE pour :

"souscrire un contrat assurance-vie multisupports avec 170 000 euros, 100% en fonds euros, mention clause bénéficiaire : "mes héritiers" et mise en place des rachats mensuels bruts de 1 700 euros à compter du 1er mai 2018".

En clair, si Madame Cécile MAGNE trépasse un peu avant mai 2018, "Madame Anne" touchera "cash" la moitié de la part de sa soeur Agnès, soit 170 000 euros : 2 = 85 000 euros (et des intérêts, sans doute).

Sans oublier les 5 appartements à venir en héritage pour "Madame Anne".

Y'a bon les sous pour "Madame Anne" (et ses complices ...).

Agnès n'y voit que du feu.

Madame Cécile MAGNE est "accueillie" à URTABURU le 19 décembre 2017.

Agnès peut aller la voir tous les jours et la promener, car c'est tout près de chez elle.

Agnès prévient la Juge des Tutelles et sa soeur "Madame Anne" :



Où l'on voit que "Madame Anne" sait depuis le 17 décembre 2016, date de réception signée par elle de la LRAR envoyée par sa soeur Agnès ... que leur mère Madame Cécile MAGNE sera en l'Ehpad URTABURU (adresse précisée) dans quelques jours.

A partir de ce moment-là, les jours de Madame Cécile MAGNE sont comptés, et Agnès ne pige pas, d'autant qu'elle a prévenu le médecin coordonnateur de l'Ehpad, dès le 15 décembre 2016, que si sa soeur Anne est en manque d'argent, Madame Cécile MAGNE est en danger de mort. Elle prévient aussi la direction d'URTABURU :

 


Cela ne traîne pas.
 
Dès janvier 2017, Madame Cécile MAGNE fait des infections respiratoires à répétition.
 
Le médecin coordonnateur part en vacances, sans remplaçant, en pleine épidémie virale.
 
Pas besoin de la Covid-19 pour achever les vieux !
 
Agnès pense que sa maman est en fin de vie, d'autant que le médecin traitant fait deux diagnostics graves : BPCO et insuffisance cardiaque. Agnès demande au médecin traitant de soulager sa mère si elle agonise. Il lui répond : "Ce n'est pas encore pour maintenant". 
 
Sympa le toubib !
 
Un jour d'avril 2017, Agnès trouve sa mère toussant particulièrement gras. D'ailleurs la pauvre femme lui dit : "C'est long" (sous-entendu de mourir). Agnès appelle le médecin coordonnateur, pour qu'il prescrive des antibiotiques.
 
Et voilà ce qu'il fait : 


Où il écrit avoir pratiqué une injection IV (intraveineuse, donc directement dans le sang circulant) de LASILIX (diurétique qui fait pisser et donc baisser la tension artérielle) à une vieille dame qui a 10,5 de tension artérielle !

Il aurait voulu la tuer qu'il n'aurait pas fait autrement.

Agnès ne réalise pas sur le moment, d'autant qu'on lui a mis dans la tête que sa mère était grande insuffisante cardio-respiratoire.

Madame Cécile MAGNE est sous O2 et inhalations buccales.

Le 17 mai 2017, l'Ehpad téléphone à Agnès pour l'informer que sa maman est tombée et doit aller aux urgences de Bayonne.

Comme Madame Cécile MAGNE est sous anticoagulant pour ses phlébites, cela risque d'être grave (hémorragie interne, hémorragie cérébrale).

Agnès arrive tout de suite et voit sa mère monter dans l'ambulance.

A ce moment précis, les deux femmes deviennent complices, définitivement et sans prononcer un seul mot (la mère, ancienne femme de médecin et ancienne sage-femme ayant mis au monde un enfant cyclope; la fille médecin) car il est question de vie et de mort.

Madame Cécile MAGNE dit à sa fille Agnès : "Je n'ai rien de grave". Elle a raison.

Dans le service de neurologie à Bayonne, sont pratiqués deux scanners cérébraux, qui se révèlent normaux.

Madame Cécile MAGNE rentre à URTABURU le 18 mai 2017.

 
Quel terrible regard affolé !
 
 
Agnès rend visite à sa mère et découvre que tout est organisé pour que la pauvre femme retombe et se tue pour de bon (lasilix pour la faire pisser et se lever souvent, tubulure pour l'O2 traînant par terre pour qu'elle bute dedans, anticoagulants).
 
Le 19 mai 2017, le médecin traitant fait une ordonnance avec Lasilix + inhalations buccales (qu'Agnès découvrira plus tard totalement inefficaces chez le sujet très âgé) :
 

 
Effrayée par ce qu'elle découvre, Agnès reprend sa mère chez elle le 22 mai 2017. 
 
Alors qu'Agnès ne lui a rien demandé, le médecin traitant, vert de rage, vient voir à domicile Madame Cécile MAGNE le lendemain 23 mai 2017 ... confirme par écrit ... BPCO et insuffisance cardiaque ...refait une nouvelle ordonnance avec Lasilix (mais moins dosé car Agnès commence à réagir fermement) :





Agnès prend le taureau par les cornes.
 
Prise de sang le 27 mai 2017 : le Pro-BNP, marqueur de l'insuffisance cardiaque est parfaitement normal. Il l'était déjà en avril 2017, demandé à URTABURU.
 
Les deux médecins ont donc fait du DENI, en affirmant que Madame Cécile MAGNE était insuffisante cardiaque.
 
 
Pro-BNP à 197 le 27/04/2017 et à 242 le 27/05/2017. Si inférieur à 300, insuffisance cardiaque très improbable, surtout à presque 97 ans.
 

De plus, on ne fait pas de diagnostic de BPCO sans la moindre exploration broncho-pulmonaire.

Agnès prend RDV chez un médecin spécialiste pneumologue le 30 mai 2017. Il pratique une pléthysmographie (la pauvre Cécile MAGNE fait de gros efforts, mais elle sait que c'est vital pour elle).

DIAGNOSTIC : ASTHME (et non BPCO).


Donc c'est curable.

Le Docteur Jean SAINT-PIE fait alors une ordonnance de cheval, avec aérosols et SOLUPRED à haute dose pendant 5 jours :



Le 1er juin 2017, Agnès dépose une lettre explicative, pas trop méchante, dans la boîte du médecin traitant et va chercher un nouveau certificat médical chez lui le 6 juin 2017 :
 



Où le médecin traitant met ENFIN le bon diagnostic.

Le Docteur Jean SAINT-PIE conseille à Agnès de porter plainte contre les deux médecins et de prendre comme nouveau médecin traitant le Docteur Monique MIREPOIX.

Totalement ignorante des us et coutumes de Saint-Jean-de-Luz, Agnès suit ses conseils.
 
Et porte plainte contre les deux médecins pour "mise en danger de la vie d'autrui" (autrui étant sa maman).
 
En effet, si Agnès avait laissé sa maman à URTABURU, la pauvre femme, asthmatique non traitée et shootée de diurétiques, aurait fini par "lâcher".
 
Du coup, "Madame Anne" recevait ses sous (5 appartements + 85 000 euros d'assurance-vie).
 
Plainte déposée le 25 juillet 2017 auprès de Monsieur le Procureur de Bayonne, Samuel VUELTA-SIMON :
 




 Où Agnès explique tout et précise, dans le NB, que le brigadier FABAS l'a reçue de façon violemment agressive quand elle a voulu déposer plainte au commissariat de police de Saint-Jean-de-Luz, n'écrivant aucun procès verbal et la menaçant de porter plainte contre elle pour "Outrage machin etc ..." si elle disait quoique ce soit.

Cette expérience a fait placer à Agnès un gilet jaune sur son pare-brise de voiture pendant un an.

Fort curieusement, "Madame Anne", qui savait très bien que sa mère avait failli claquer tout récemment à URTABURU, envoie une LRAR à sa soeur Agnès le 12 juillet 2017 :
 

Lettre où il n'est question que d'argent et de vente d'appartements.
 
Effarées par le matérialisme sordide de cette lettre, Cécile et Agnès répondent à "Madame Anne", la remerciant d'avoir pris des nouvelles de leur santé, surtout celle de Cécile ...
 
 

Ne perdant toujours pas le Nord, Agnès prend un RDV pour Cécile chez le cardiologue le 21/09/2017 :
 

Donc à 97 ans pour Madame Cécile MAGNE : aucune insuffisance cardiaque et ECG normal.

Ouf.

Décision de Monsieur le procureur de la République de Bayonne, Samuel VUELTA-SIMON, en date du 20/10/2017 :

CLASSEMENT SANS SUITE !
 


Il y a des gens bien en médecine, police et justice.

Mais là, bonjour la concentration de "pas nets" !

Et ce n'est pas fini !

Donc à bientôt car ...

A SUIVRE ...
 
 

C'est promis, ISHA, on va voir la mer !

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