Le 4 mars 2014 : Monsieur le Procureur (de Pau) : "Par la présente, je vous informe porter plainte contre ma soeur Mademoiselle Anne GOUINGUENET pour abus de faiblesse sur notre mère Madame Cécile MAGNE, 93 ans, née le 30 juin 1920 et domiciliée Résidence de France, Immeuble Normandie, 7 avenue du Général de Gaulle à Pau (64). Il s'agit d'une récidive car j'ai du protéger notre père, feu le Docteur Charles GOUINGUENET, ex de notre mère, qui fut placé sous protection judidiaire en urgence par Madame Mylène SANCHEZ, juge des tutelles à Vannes. Pièces à conviction ..."
Bonjour mes ami-e-s.
En mars 2014, je prends en charge la santé et la comptabilité de Madame Cécile MAGNE.
La santé de Madame Cécile MAGNE :
Son médecin traitant de Pau me donne une dernière ordonnance, avec son traitement du moment :
Atacand et Monotildiem = traitement de l'HTA; Levothyrox = traitement de l'hypothyroïdie
Un médecin traitant de Saint-Jean-de-Luz (qui m'avait été conseillé par un médecin généraliste-médecin du sport à Billère près de Pau) l'examine et fait un certificat médical détaillé, fin mai 2014 :
Donc : HTA, hypothyroïdie, syndrome dépressif et "séquelles" d'un AVC en 2013. Troubles moteurs (en effet, elle a besoin d'un déambulateur pour se déplacer, mais peut encore monter et descendre quelques marches en s'aidant à la rampe; aucune paralysie).
Madame Cécile MAGNE est examinée par un médecin expert auprès des tribunaux début juin 2014 :
AU TOTAL : rien de bien extraordinaire. Une HTA bien équilibrée, une hypothyroïdie bien compensée par traitement substitutif, un syndrome dépressif curable, et des troubles cognitifs sans grande gravité pour une femme de 93 ans.
Elle ne peut vivre seule et doit être aidée pour sa comptabilité.
Cependant, elle ne nécessite pas une mise sous Tutelle.
Juste une Curatelle renforcée.
La comptabilité de Madame Cécile MAGNE :
Là, c'est plus délicat.
Alors que "Madame Anne" continue à pomper sa mère en région parisienne avec la carte bleue maternelle qu'elle a volée (400 + 300 euros en janvier 2014, 300 euros en février 2014) :
Madame Cécile MAGNE reçoit des rappels d'impayés pour les charges de ses appartements de Pau (Cabinet GABAIG), soit un total de 2 450,83 euros :
Ce qui fait un reliquat réel, sur le compte-courant de Madame Cécile MAGNE, de : 574, 78 euros.
Donc Agnès, qui avait l'habitude de faire la comptabilité de son laboratoire au centime près (entrées, sorties, reliquat), est obligée de prêter de l'argent à sa mère, afin de ne pas toucher aux économies de la pauvre femme (on ne sait comment tout cela va évoluer quant à la dépendance) :
Donc en mars 2014, Agnès a prêté à sa maman ... la somme de 2 349, 55 euros.
Heureusement, Madame Cécile MAGNE avait fait estimer les meubles et bibelots de son appartement de Pau et les avait mis en vente chez le commissaire-priseur GESTAS.
Elle reçut une coquette somme, qui lui permit de rembourser sa fille Agnès.
Bon, ça va un peu mieux sur le plan financier.
La police de Saint-Jean-de-Luz et la Justice de Bayonne à ce moment-là :
Pour se sentir "soutenue", Agnès fait appel à une avocate (barreau de Bayonne) qui lui fut conseillée par la fille d'un golfeur.
L'avocate prend deux affaires en même temps : la plainte d'Agnès contre sa soeur pour abus de faiblesse sur leur mère, et la demande d'Agnès pour devenir curateur de sa mère.
Pas sûr que cette attitude de l'avocate soit vraiment déontologiquement au "top". Mais bon, Agnès n'est que médecin biologiste retraitée ... alors les règles du Droit ...
Agnès est convoquée à la Police le 13 mai 2014. L'avocate est là.
Puis Agnès est convoquée par la juge des tutelles au TI de Bayonne le 18 juillet 2014. L'avocate est là.
Ce RDV au TI de Bayonne ne se passe pas bien car Agnès s'entend dire par la juge des tutelles qu'elle est "indigne" d'être curateur de sa mère.
Curieux quand même, puisqu'Agnès a recueilli sa mère chez elle, lui a prêté de l'argent et s'occupe de sa comptabilité au centime près.
Fin 2014, Agnès apprend par la police qu'elle ne sera pas nommée curateur de sa mère.
Elle envoie des mails peu amènes à l'avocate, qui s'est quand même fait payer ... 1 800 + 2 400 euros = 4 200 euros ... olé !
La réponse en LRAR de l'avocate n'est pas à piquer des vers puisqu'elle raconte n'importe quoi !
Agnès largue l'avocate, d'autant qu'elle apprend qu'elle ne peut porter plainte à la place de sa mère avant d'être nommée curateur.
Une avocate ne sait pas cela ?
TARATATA !
Heureusement ...
Sans oublier qu'Agnès avait fait ce qu'il fallait concernant "Madame Anne" ...
Et vous, qu'en pensez-vous ?
A bientôt car ...
A SUIVRE ...
Eh bé, les galets à Dieppe, ce n'est pas folichon pour mes pattes ! Tu as bien fait de nous installer près d'une plage de sable.
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