(Résilience ...).
Bonjour mes ami-e-s.
Il est donc nécessaire d'ALERTER d'autres femmes ainsi que leurs conjoints, habitant dans la région, puisqu'il n'y a plus rien d'autre à faire.
Lettre du chirurgien mutilant, donnée à la future mutilée. De quoi être affolée, même si l'on est "de la partie".
Notons qu'il y a doute sur un éventuel cancer de l'endomètre, mais qu'il n'est aucunement question de sarcome.
Résultats de l'IRM :
Le radiologue est raisonnable et prudent. Il pense que la tuméfaction de 4 cm est un fibrome, mais que l'épaississement de l'endomètre ne peut exclure un cancer de l'endomètre sous-jacent.
A ce moment-là, personne n'a encore les résultats anatomo-pathologiques de la biopsie d'endomètre.
Ils sont parfaitement normaux :
IL FALLAIT PRATIQUER UNE HYSTEROSCOPIE AVEC CURETAGE BIOPSIQUE, AVANT TOUTE CHIRURGIE RADICALE MUTILANTE.
On éliminait alors tout processus cancéreux au niveau de l'endomètre.
En admettant qu'il y ait eu le moindre doute concernant un sarcome utérin, le chirurgien devait, en opérant, faire une exploration des aires ganglionnaires et aussi une coelioscopie pour prélever du liquide péritonéal pour analyse cytologique.
Le compte-rendu opératoire est très explicite. Ni exploration ganglionnaire, ni coelioscopie, ni cytologie péritonéale.
De plus, dans son compte-rendu opératoire, le chirurgien fait le diagnostic de "myome" (fibrome), avant tout examen anatomo-pathologique, puisque la cotation prouve qu'il n'y a pas eu d'examen en extemporané (au cours de l'intervention).
Le chirurgien savait-il, avant l'intervention, qu'il n'y avait pas de cancer en cours ?
Mais alors, pourquoi effectuer une telle chirurgie radicale mutilante ?
Notons que, dans les antécédents familiaux, il y a en effet un cousine atteinte d'un cancer de l'utérus, mais les femmes les plus proches de la mutilée n'ont eu aucun problème sur le plan gynéco-obstétrical (les deux grands-mères sont décédées de vieillesse à plus de 95 ans; la maman est toujours vivante à 95 ans passés). Autre antécédent non signalé sur le compte-rendu opératoire : la future mutilée avait des règles très abondantes, lui ayant provoqué une anémie ferriprive. Elle ne s'est pas affolée et a pris du fer, ce qui a corrigé l'anémie. Sans doute le fibrome pré-existant. Dommage de ne pas avoir pensé au plus simple.
Le compte-rendu anatomo-pathologique de la pièce opératoire (ovaires enlevés également !) est daté du 5 janvier 2006 (un jeudi).
Or, la mutilée a quitté la clinique pour une maison de convalescence 4 jours plus tard (un lundi), ne sachant toujours pas si elle avait un cancer ou non. Elle ne le sut que plusieurs jours après le début de sa convalescence, par un coup de fil de la mutilante. Dommage, car la mutilée aurait pu commencer sa convalescence plus "tranquillou", si elle avait connu la vérité rassurante dès son départ de la clinique. Car cette vérité était connue avant son départ de la clinique ...
Comme nous l'avons déjà expliqué dans des billets précédents, la mutilée a mis des années avant de récupérer, puis a compris qu'elle avait été opérée bien vite, voire pour rien. Elle a donc porté plainte en 2011, pour séquelles sexuelles majeures (non pas diminution de la libido, mais suppression de la libido).
Elle eut droit à subir un accedit par un expert près les tribunaux. Elle était seule face à trois médecins (l'expert, la mutilante, le médecin représentant l'assurance de la mutilante).
Puis l'expert a rendu son rapport au bout de plus d'un an :
Rapport où nous trouvons, plusieurs fois citée, une recommandation du Collège National des Gynéco-Obstétriciens Français, datant de 2011, soit 5 ans après les faits, mais incomplète.
Le texte du rapport ...
Le texte réel de la recommandation :
http://www.cngof.net/Journees-CNGOF/MAJ-GO/RPC/RPC_fibrome_2011.pdf
En supprimant la phrase commençant pas "En dehors de cette spécificité" (sous-entendu le Syndrome de Lynch), l'expert a trompé la Justice. Car ce passage, cité plusieurs fois dans le rapport d'expertise, perd tout son sens.
D'autant que la mutilée n'a pas de nouveau fibrome (son fibrome est de découverte fortuite donc indatable); on n'a pas pris le temps de savoir s'il augmentait de volume; il était asymptômatique. Sans oublier que la mutilée n'a pas de Syndrome de Lynch.
DONC MENSONGES VOLONTAIRES répétés POUR QUE L'ASSURANCE NE PAIE PAS.
Etonnante déclaration sur l'honneur de cet expert menteur ...
La mutilée demande un autre avis. Elle prend conseil auprès d'un chirurgien gynéco-obstétricien, lui-même expert près les tribunaux. C'est alors qu'elle découvre pas mal de données qu'elle ne connaissait pas.
Puis la mutilée perd son procès, car le deuxième expert est considéré comme nul et non avenu. C'est étonnant, car il est très compétent.
Curieusement, elle reçoit une facture de son avocate, signée de l'avocat de la partie adverse ... ambiance ...
Elle fait donc appel et change d'avocate.
Résultat de l'appel :
Où il est affirmé que la mutilée a accepté la mutilation par crainte de cancer, tout en sachant que son affection était bénigne.
Il s'agit tout de même d'un haut magistrat, Président de cour d'Appel !
Cerise sur le gâteau. La mutilée est allée voir récemment un troisième chirurgien gynéco-obstétricien, lui aussi expert près les tribunaux.
Cet expert a écrit à la 5ème page de son rapport (de ce fait totalement plombé), que "le sarcome ne nécessite pas d'exploration ganglionnaire".
Ce qui est tout de même curieux, si l'on écoute son bon sens voire lit la littérature digne de confiance :
https://onconormandie.fr/wp-content/uploads/2017/10/Sarcomes-et-carcinomes-ut%C3%A9rins-fev-2011-1.pdf
https://onconormandie.fr/wp-content/uploads/2017/10/Sarcomes-et-carcinomes-ut%C3%A9rins-fev-2011-1.pdf
En particulier la page 10 :
" Bilan de stadification chirurgicale des sarcomes utérins :
- Exploration : L’intervention doit débuter par une exploration de la totalité de la cavité
abdomino-pelvienne à la recherche d’une extension locorégionale de la tumeur (pelvis, péritoine, aires ganglionnaires pelvienne et lombo-aortique, foie). Tout élément suspect devra être prélevé et une cytologie péritonéale devra être réalisée. "
C'est surprenant, car la mutilante n'a justement pas exploré les aires ganglionnaires.
Ce qui est étonnant, c'est que cela se passe dans la même ville que la première épiphanie ...
http://gouinguenetagnes.blogspot.fr/2016/09/je-de-nom-ce-la-justice-de-france-pau.html
Vous croyez que le notaire est en affaire avec la justice du coin ?
Remarquez, depuis que nous avons découvert deux ex-gardes des Sceaux, pris la main dans la confiture de l'argent public, plus rien ne nous étonne vraiment ! Ah mais l'un d'entre eux n'est-il pas maire de ... ?
(Allons bon ! Des "volatiles" bien curieux ...).
A bientôt car ...
A SUIVRE ...
(Ouh mais cette tache est très suspecte de cancer ! Il faut l'enlever tout de suite.
Hum ... Âge de la tache ... 97 ans ! ) ...
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