vendredi 4 mars 2011

HISTOIRE VRAIE D'UN ACHARNEMENT SUR UNE FEMME SEULE, EN FRANCE, AU XXI EME SIECLE (III).

Bonjour mes ami(e)s.

Après le premier massacre d'Agnès par certains golfeurs du PGC 1856.
Après l'histoire de l'organiste qui la roue de coups puis porte plainte contre elle.
Après l'enfermement d'Agnès en HDT à l'Hôpital Psychiatrique de Pau, signé par "qui sait ?", alors qu'Agnès a simplement besoin de repos.

Nous arrivons au Projet Saint Joseph de Pau.

Fin décembre 2003 (soit seulement 4 mois après la reprise de son travail "post burn-out", de surcroît dans les mêmes conditions qui l'ont provoqué) : Devis de restauration de l'orgue de l'Eglise Saint Joseph à Pau (où Agnès dirige la chorale paroissiale et accompagne parfois la messe à l'orgue).

Fin mars 2004 (soit seulement 7 mois "post burn-out") : lettre du curé demandant à Agnès de s'occuper de la construction d'un orgue neuf en cette Eglise Saint Joseph.

Agnès dit oui, car elle a des idées de Festival d'art sacré à point de départ palois, basant des idées oecuméniques sur le fait que Pau est la ville natale d'Henri IV, signataire de l'Edit de Nantes (13 avril 1598).

Projet soutenu avec enthousiasme par André LABARRERE, maire de Pau, qui envoie à Agnès, le 27 juillet 2004, une lettre de soutien de Renaud DONNEDIEU de VABRES, alors Ministre de la Culture. Donc ampleur nationale. L'évêque du diocèse n'est-il pas au courant ? Taratata !

Le premier septembre 2004 (un an jour pour jour après la reprise professionnelle d'Agnès "post burn-out"), le curé écrit un mail à Agnès lui disant que le Vicaire Général considère que c'est acquis, même s'il faut attendre une réunion du bureau de l'Association diocésaine, prévue le 14 octobre 2004.

Le 14 septembre 2004, Agnès pressent déjà le coup fourré et exige de l'évêque qu'il s'engage par écrit. Réponse immédiate du mitré : on attend le 14 octobre 2004.

André LABARRERE, en fin politicien, a déjà compris; pas Agnès.

Le 14 octobre 2004 : non au Projet Saint Joseph. Raison invoquée par l'évêque, plus que vasouillarde, du style divers projets concurrents, comme s'il n'était pas au courant depuis belle lurette de ce qui se décide dans son diocèse !

Qu'a-t-il subi comme influences ?

Quant à Agnès, si elle n'a pas rechuté en nouvelle décompensation de "burn-out", c'est que son Ange Gardien a préservé la solidité de ses ailes ... pour l'avenir.

Tout le dossier de cette affaire est archivé en Mairie de Pau.


A SUIVRE ...

1 commentaire:

  1. Bonsoir mes lectrices et lecteurs.

    Quand je relis ce billet, je me dis que mon ange gardien voyait loin ...

    Merci de votre intérêt.

    Agnès G.

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