mardi 31 mai 2022

HONTE AU PROCUREUR SAMUEL VUELTA-SIMON !

 

Cécile MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET, le jour de son anniversaire de 97 ans, chez sa fille Agnès GOUINGUENET, à Saint-Jean-de-Luz.

30 juin 2017.

 

 

Bonjour mes ami-e-s et autres.

Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN à Dieppe, ex-GOUINGUENET (donc ma maman) est décédée le dimanche 27 janvier 2019 chez moi, Résidence URIAN, 6 place des Basques à Saint-Jean-de-Luz. 

Voici le compte-rendu du SAMU, que j'ai appelé en découvrant à environ 7h du matin, ma pauvre maman agonisant, allongée par terre, le long de son lit, sur le ventre (en decubitus ventral), face contre terre (moquette partout), avec les bras le long du corps :

 

Il est noté : "Fracas facial avec évidente fracture du nez compatible avec une chute directe de sa hauteur".

Ce qui signifie que Madame Cécile MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET s'était levée de son lit alors que sa fille Agnès était encore couchée dans son lit à elle.

CE N'EST PAS POSSIBLE.

En effet, la fille cadette de Madame MAGNE, le Docteur Agnès GOUINGUENET, qui hébergeait sa maman depuis plusieurs années chez elle à Saint-Jean-de-Luz pour la protéger des boulimiques de l'argent maternel, avait à ce moment-là très mal au dos.

Elle avait d'ailleurs consulté l'une de ses consoeurs, le Docteur Valentine KAHN, rhumatologue au groupe ELGAR à Saint-Jean-de-Luz.

Laquelle Valentine KAHN lui avait prescrit une ceinture lombaire :



Laquelle ceinture lombaire lui fut délivrée le 11 janvier 2019, par la pharmacie FORT NIVELLE, tout à côté de chez elle, quartier URDAZURI.

Par ailleurs, étant médecin elle-même, le Docteur Agnès GOUINGUENET s'était prescrit le 22 janvier 2019 une ordonnance d'antalgique (Doliprane) avec anti-inflammatoire (Diclofénac) et anti-acidité gastrique (Oméprazole), médicaments qui lui furent délivrés par la même pharmacie FORT NIVELLE :


Pourquoi ces prescriptions ?

Pourquoi ce mal au dos, alors que les infirmières du groupe ELGAR venaient tous les jours doucher sa maman Cécile MAGNE, en particulier une dieppoise, Mademoiselle Béatrice CORDIER ?

C'est que Madame MAGNE, née ANQUETIN, ex-GOUINGUENET ne pouvait plus se lever toute seule quand elle était assise sur son lit. Elle avait besoin d'aide. Sa fille Agnès prenait la main gauche de sa mère dans sa main droite et la mains droite de sa mère dans sa main gauche et tirait sa mère qui pouvait ainsi se lever.

Madame MAGNE n'a donc pas pu tomber de sa hauteur et se fracasser la face, alors qu'elle était couchée dans son lit.

Le pool d'infirmières avait les clés de l'appartement, afin de rentrer et doucher Cécile MAGNE, même quand la fille Agnès n'était pas là.

D'ailleurs, la clé de la porte d'entrée de l'appartement permettait d'ouvrir la porte, même si la porte était fermée de l'intérieur, avec la clé restée dans la serrure (expérience faite tout récemment, avec l'actuel occupant de l'appartement).

De la moquette partout, donc appartement très silencieux.

 

Entreprise CORDIER à Dieppe. Photo récente.

 

D'ailleurs les 4 infirmières qui s'occupèrent de Cécile MAGNE à Saint-Jean-de-Luz écrivirent un mot très gentil à l'occasion du décès de Cécile MAGNE :

 

 

L'infirmière qui signe "Béatrice" est Béatrice CORDIER, née à Dieppe, et dont l'entreprise familiale est toujours en activité, comme nous l'avons vu plus haut.

Nous pouvons affirmer, sans trop risquer l'erreur, que Dieppe était en rapport étroit avec le corps vivant de Cécile MAGNE née ANQUETIN à Dieppe, ex-GOUINGUENET, puisqu'une infirmière d'origine dieppoise, dont l'entreprise familiale est toujours en activité à Dieppe, possédait les clés du logement où vivait et dormait Cécile MAGNE en janvier 2019.

De là à en considérer que l'immeuble de Dieppe, situé au 6 rue de la République, propriété de Cécile MAGNE, mais seulement de son vivant car elle en avait fait la donation à sa fille Anne (en avance d'hoirie, ce qui signifie que la fille Anne doit sa part à sa soeur Agnès) ... était un bien attendu avec impatience par mademoiselle Anne GOUINGUENET et par le petit copain d'Anne GOUINGUENET, à savoir l'artiste peintre monsieur Ferenc JELENA, il n'y a qu'un pas.

Un pas d'ailleurs très vite franchi puisque monsieur Ferenc JELENA  s'est carrément installé au 6 rue de la République à Dieppe, dès la mort de Cécile MAGNE :

 



Photos prises récemment ...


Par ailleurs, nous devons évoquer un fait important.

En mai 2013, mademoiselle Anne GOUINGUENET avait hérité, à la mort de son père (26 mars 2012), d'une coquette somme d'environ 600 000 euros.

Or, en mai 2013, mademoiselle Anne GOUINGUENET continue à demander de l'argent à sa mère.

Elle se fait même des chèques à son nom, sur le chéquier de sa mère, en imitant la signature de sa mère.

 

Où l'on voit aisément que le chèque du haut est écrit et signé par Madame Cécile MAGNE; quant au chèque du bas, il est écrit et "signé Magne" par mademoiselle Anne GOUINGUENET elle-même. Pourquoi se gêner puisque le procureur laisse faire ? Madame MAGNE mettait systématiquement " à l'ordre de" et signait toujours en faisant deux traits distincts et parallèles à ses M majuscules.

 


Sans oublier :

 


 

Donc, selon monsieur Samuel VUELTA-SIMON, à ce moment-là procureur de la République française à Bayonne, on a le droit de :

- voler la carte bleue de sa mère,

- l'utiliser à tel point que le compte-courant maternel soit dans le rouge

- se faire un chèque avec le chéquier maternel en imitant la signature de sa mère, donc forcément à l'insu de sa mère, alors que l'on vient d'hériter de 600 000 euros CASH.

Donc, selon monsieur Samuel VUELTA-SIMON, à ce moment-là procureur de la République française à Bayonne, ces délits sont légaux.




HONTE A CE PROCUREUR Samuel VUELTA-SIMON, CAPABLE DE PRENDRE LE PARTI DE CRIMINELS ET DONC DE S'EN FAIRE LE COMPLICE !