(Du côté de chez Maurice Leblanc ...).
Bonjour mes ami-e-s.
Figurez-vous que nous possédons différents documents officiels prouvant que :
1 - N2 a pratiqué le recel de fonds.
2 - N2 a fait signer à la personne dont il séquestrait les fonds en secret, un compromis de vente d'un appartement d'habitation principale, avec une condition suspensive, comme si la personne n'avait pas l'argent pour payer, alors que N2 possédait la somme et la faisait fructifier pour lui, peinard. Faux et usage de faux.
3 - N2 a écrit un courrier mensonger pour se disculper devant le procureur de la République, en accusant un confrère (en fait une salariée du confrère) de lui avoir envoyé un virement sans explication, alors que le confrère (la salariée du confrère) a mis un chèque dans une missive informative, chèque d'ailleurs touché par N2, quelques jours après réception à son étude. Faux témoignage, avec mise en accusation d'une femme salariée, alors que celle-ci a bien fait son travail. Pas très joli, joli, joli, tout cela ...
Vous pensez que la Justice de France va "couvrir" N2 ?
Cela paraît fort improbable que cette grande Dame continue à affirmer que 1 + 1 = 3 !
Cela paraît fort improbable que cette grande Dame continue à affirmer que 1 + 1 = 3 !
A bientôt car ...
(Ah non, pas la Justice divine sur terre !).
A SUIVRE ...
Bonsoir Agnès
RépondreSupprimersans vouloir vous fâcher , n'auriez éte pas mariée à un notaire à Duclair ?
Grosses bises à la Normande , comme à Duclair ;-))
Gabon (bonsoir) cher GR.
SupprimerOh mais vous ne me fâchez nullement; vous me faites simplement de la peine car il est décédé bien trop tôt; probablement le désirait-il. Il était du côté de sa mère.
Un jour, cet homme intègre m'a raconté une histoire vécue. Il était seul, dans un logement d'une personne qui venait de mourir et dont il assurait la succession. Tout à coup, il découvre plein d'argent liquide non déclaré, plein de billets de banque. S'il s'était servi (même beaucoup), personne ne l'aurait su. Il n'a rien pris, pas même une pièce de monnaie.
Un autre jour, il est arrivé décomposé; c'était en Normandie; il venait d'apprendre que l'un de ses confrères (et ami) avait été pris la main dans le sac. Il avait été très choqué : "Comment a-t-il pu faire cela ? Je croyais le connaître" ...
Vers le 11 novembre 1996 (j'étais installée en Béarn depuis 7 ans), j'ai traversé la France pour lui venir en aide et l'amener à mes côtés. Je l'ai fait soigner et l'ai pris en charge +++. Il a mis son étude en vente et tout s'est déroulé avec beaucoup de dignité, car c'était un homme de nouveau debout. Il a vendu correctement. C'était bien.
Quand il fut au plus mal, quelqu'un m'a conseillé de ne pas divorcer pour être sa veuve et hériter de lui; ce conseil m'a outragée; j'ai donc divorcé car la vie avec un grand alcoolique est impossible, d'autant que j'avais des responsabilités professionnelles importantes à ce moment-là.
In memoriam l'homme de ma vie, notaire qui se faisait une haute idée quant à l'éthique de sa charge. Mais voilà, la maladie incurable l'a anéanti.
https://www.youtube.com/watch?v=lPca88LPARI
Adiskideatasun aske.
AG à GR.
Pardon, en 1996, j'étais installée depuis 9 ans ...
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