Bonjour mes ami-e-s.
Mais non, ce n'est pas la sainte Trinité chrétienne !
Vous avez lu cela ?
"Dordogne : trois notaires mis en examen pour abus de faiblesse
Trois notaires de Dordogne ont été mis en examen dans une
affaire d'abus de faiblesse présumé sur un couple de personnes âgées
vulnérable, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Périgueux.
- A.R. avec AFP
- Publié le 21/08/2015 | 12:24, mis à jour le 21/08/2015 | 12:24
© PASCAL GUYOT / AFP
Une plaque d'office notarial (photo d'illustration)
Deux notaires, un homme et son fils, exerçant à Mussidan, et un
troisième exerçant à Ribérac, ont été interpellés et placés en garde à
vue pendant la première quinzaine d'août dans le cadre d'une information
judiciaire ouverte pour "abus de faiblesse sur personnes vulnérables", "complicité d'abus de faiblesse" et "faux et usage de faux en écriture", a précisé à l'AFP le parquet, confirmant une information du quotidien Sud-Ouest.
Cette information judiciaire, ouverte après un signalement d'un juge des tutelles à Périgueux, concerne la vente, par un couple de personnes âgées résidant en Dordogne, d'un bien immobilier situé en région parisienne.
Le couple, considéré comme vulnérable, faisait l'objet d'une mesure de protection. "La particularité de cette affaire, c'est que la vente s'est effectuée au bénéfice d'un des fils du notaire qui avait procédé à la passation des actes de vente", a souligné le parquet.
Ce notaire qui a passé les actes a notamment été mis en examen pour "abus de faiblesse", les deux autres pour complicité, a précisé le parquet.
Les trois officiers publics ont été placés sous contrôle judiciaire, assorti pour deux d'entre eux d'une interdiction d'exercer la profession de notaire. "
Cette information judiciaire, ouverte après un signalement d'un juge des tutelles à Périgueux, concerne la vente, par un couple de personnes âgées résidant en Dordogne, d'un bien immobilier situé en région parisienne.
Le couple, considéré comme vulnérable, faisait l'objet d'une mesure de protection. "La particularité de cette affaire, c'est que la vente s'est effectuée au bénéfice d'un des fils du notaire qui avait procédé à la passation des actes de vente", a souligné le parquet.
Ce notaire qui a passé les actes a notamment été mis en examen pour "abus de faiblesse", les deux autres pour complicité, a précisé le parquet.
Les trois officiers publics ont été placés sous contrôle judiciaire, assorti pour deux d'entre eux d'une interdiction d'exercer la profession de notaire. "
Eh bien, si j'avais pensé une telle chose possible !
Et pourtant.
A bientôt car ...
(le vent se lève, semble-t-il ).
A SUIVRE ...
Bonjour Chère Agnés
RépondreSupprimerSi je ne savais que vous fûtes mariée à un notaire (de Duclair, soyons précis) je m’inquiéterai de votre tabellionphobie !
Mais n'y aurait-il pas un petite reste de rancune contre le de cujus votre époux ?
Allez je vous taquine
Bises
GR
Arratsalde on (bonjour d'après-midi), cher Gaétan.
SupprimerVos problèmes de santé sont-ils enfin vaincus ? Ah mais quand même, il ne faudrait pas que cela se répète trop souvent ! Votre épouse trottine ?
Je suis corruptionphobe; c'est tout.
Figurez-vous que mon amie Sylvie, femme de médecin, a porté plainte contre un médecin; elle a eu raison, car le médecin en question l'a mutilée pour rien, en toute connaissance de cause.
Aucune pitié pour les crapules, surtout si elles sont pleines de diplômes et/ou de sous.
Vous savez quoi ? Je viens d'apprendre que je descends (peut-être) des premiers esclavagistes de la Guadeloupe. Cela m'a fait un coup terrible. Je me suis consolée en relisant la vie fantastique de mon ancêtre révolutionnaire Efflam Le Maout (un bourgeois érudit; pas fou le bonhomme).
Concernant feu mon ex (nous étions divorcés tout de même), sachez que nous avions fait une donation entre époux. Je n'ai pas pensé à supprimer la mienne en divorçant (vous imaginez mon ignorance); le problème, c'est que lui non plus ne l'a pas supprimée (il savait ce qu'il faisait, le bougre !). Lors de notre deuxième divorce, il a pris les torts; de ce fait ma donation sautait mais pas la sienne (vous pensez bien que je n'ai appris cela que bien plus tard !). Le problème est que, dans sa famille, il y avait des juristes; et mon ex ne se faisait aucune illusion; il m'avait confié que certaines personnes n'attendaient qu'une chose; c'était qu'il meurt pour hériter; ces personnes ont attendu quelques années, entre le divorce et l'ouverture du testament (je fus conviée alors que j'étais divorcée; un comble !). De toute façon, cher Gaétan, mon époux avait raison, qui disait que le mieux est une bonne retraite plutôt que du capital. Je le remercie tous les matins.
Vous savez quoi ? Mon amie Sylvie a reçu ses impôts et ceux de sa vieille maman; eh bien, à revenus quasi égaux, elle paie presque deux fois moins d'IRPP que sa mère; tout simplement, parce que sa mère a des biens immobiliers, tandis que Sylvie n'a que son logement principal.
Hop là Gaétan ! En accusant N2 (cette fois il y a plainte pour faux témoignage, entre autre), je blanchis N1 et en particulier la dame salariée de N1 ET qui a fait son boulot ! Donc aucunement notairophobe. N2 fait du recel de fonds et accuse N1. Il faut le faire !
Autre chose. Figurez-vous que mon amie Sylvie m'en a appris une bonne. L'agence bancaire où sa maman faisait la plupart de ses transactions a donné procuration effective à la soeur Anne, alors que la maman ne l'a jamais donnée. Vous vous rendez compte ? Il faudrait peut-être que mon amie porte plainte contre cette agence. Qu'en pensez-vous ? Parce que si l'on donne des procurations en veux-tu en voilà, sans même faire remplir le moindre papier officiel, dans quel pays vivons-nous ?
Mila musuak.
AG à GR.
N.B. J'ai repris l'étude du Prélude, Fugue et Chaconne en Do M de D. Buxtehude. Que du bonheur. Et la semaine prochaine, j'emmène des amis pour une journée en bateau. VIVE LA VIE.
Tiens, cher GR, je rentre d'un magnifique concert symphonique. La 4ème de Mahler; je ne connaissais pas. Superbe. Une vitalité folle !
SupprimerEn y réfléchissant, c'est ce que j'ai redonné à mon ex, en allant le chercher en 1996 alors que tout le monde le laissait tomber; je lui ai demandé un jour si j'avais eu raison de lui prolonger la vie; il m'a répondu que oui; pour mon papa, ce fut la même chose; alors qu'il était en état de choc psycho-affectif du fait d'un placement brutal sans préparation, je l'ai promené, promené, promené; il a repris goût à la vie en entendant ses mouettes bretonnes, et il est reparti pour un petit tour (le dernier, un peu plus de deux années); mon amie Sylvie fait de même avec sa maman; alors que la soeur Anne avait totalement abandonnée la dite maman après l'avoir pillée (à l'aide d'un autre notaire, qui lui a fait donner l'appartement dans lequel elle vivait, alors qu'elle en avait d'autres à donner sans se spolier), mon amie Sylvie donne à sa maman ses derniers moments de bonheur digne.
Evidemment, tout cela n'arrange pas certain-e-s héritiers-ières qui piaffent d'impatience ! Mais voilà.
Gau on eta mila musuak (bonne nuit et mille bisous).
Prenez bien soin de vous.
AG à GR.
N.B. Figurez-vous que j'ai réalisé tardivement que l'avocat que j'ai pris pour me défendre quand j'ai demandé la tutelle de mon papa (il venait d'être transféré à mes côtés) et qui a perdu, était celui qui défendait mon futur ex lors de notre deuxième divorce. Je ne m'en souvenais même plus. Il m'avait été recommandé par un amie très chère. Quelle plouque je fais ! J'avais pris, de mon côté, un-e avocat-e de mes patient-e-s; un-e qui avait un "pet au casque" à ce moment-là. Mais tout cela est du passé.