lundi 13 février 2012

BLUES EN ROUGE, POUR NE PAS OUBLIER LES ESCLAVES NOIR-E-S.

Ordonnance du Roi de France.



Pour empêcher les esclaves de fuir :







Maquette d'un navire "négrier" :







Revenons à la musique :



Et en situation :






A propos, photo d'un anneau d'esclavage, porté encore par des femmes au Niger, jusqu'en 2002 ...







No comment.


A bientôt car ...

A SUIVRE ...
 

5 commentaires:

  1. Bonsoir Agnès

    Pensez aux riches maisons des armateurs de ST Malo et de Nantes , et puis à celles de Bordeaux et de St Jean de Luz pour se rapprocher de chez vous.
    Puis dites vous que le taux de mortalité sur le navires des immigrants (env 33%) était plus important que sur les navires d'esclaves
    Humanisme ? que nenni

    les uns payaient avant , les autres étaient vendus après

    Business as usual

    Bonne soirée

    GR

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  2. Tchao Gaétano.

    Pas bien compris ce que vous vouliez dire.

    Mortalité due aux maladies et aux accidents maritimes pour les blancs qui allaient faire fortune "aux Amériques" ?

    Les noir-e-s n'avaient ni chance ni liberté de faire autre chose.

    Au moins, ce genre de trafic lié à la couleur de peau est devenu illégal.

    L'esclavage n'a bien sûr pas disparu; les enfants qui travaillent au Bangladesh, le trafic des femmes au Burkina Faso, le travail forcé en Chine, les trafics d'organe ...

    Comme vous le dites avec tant de cynisme, business.

    AG à GR.

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  3. Complément.

    Je n'habite pas dans une riche maison.

    AG à GR.

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    1. Bien dommage pour vous !!!

      En fait il y avait une raison plus simple mais tout aussi cynique
      -les émigrants partaient avec femmes (parfois enceintes) enfants vieillards , donc des populations à risques qui augmentaient le taux de mortalité
      -par contre pour faire du profit les capitaines négriers embarquaient des jeunes gens dans la force de l'âge, le risque principal étant la rencontre d'un chasseur anglais de navires esclavagistes , car alors les malheureux étaient souvent jetés à la mer , le capitaine ne tenant pas à être pendu.

      Mais nous sommes toujours esclaves de quelque chose ou de quelqu'un et parfois de soi-même

      A+

      GR

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  4. Tchao Gaétano.

    Figurez-vous que dans ma famille proche, quelqu'un a vécu dans une splendide demeure, avec parc et pigeonnier, témoin de la noblesse des lieux.

    Le paraître était somptueux, récent dans cette lignée d'alliance, proche de l'agriculture.

    Pas plus de bonheur intérieur qu'ailleurs, voire moins; et en particulier deux décès trop précoces pour notre époque, dont un, lié directement au désespoir.

    L'argent et le snobisme ne font pas le bonheur; cela se saurait ...

    Nous sommes esclaves de la pesanteur, de notre génétique, de nos limites temporo-spatiales, entre autre. Essayons de nous libérer de nos chaînes surnuméraires, construites par la perversion humaine. Eh oui, vaste programme, mais tentons quand même.

    Sinon, quel serait notre sens, quelle serait notre raison d'être ? Faire des enfants aussi tordus que nous ?

    Bof.

    AG à GR.

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