lundi 17 juillet 2017

Magistrature flouée, débordée ou de parti-pris ?

(C'est porno ? Ah bon ? ...).

Bonjour mes ami-e-s.

Or donc, nous arrivons au jugement du Juge J, qui possède les deux expertises.

La mutilée demande une véritable contre-expertise, puisqu'elle apporte de nouveaux éléments, en totale contradiction avec le premier rapport. 

Notons que la mutilée est retraitée médicale, mais n'y connait rien en chirurgie gynécologique. C'était son corps d'être humain féminin qui était en cause, pas celui d'une personne travaillant dans le médical. 

Par contre, c'est peut-être pour cela qu'elle ne laisse pas tomber. Pour que d'autres femmes soient mieux informées et ne se laissent pas faire.

Donc page 1 :


Oui, c'est un vrai jugement.

Regardez ce qui est laissé à la lecture concernant les avocats ... 

Puis les pages 2 et 3 :  




Où l'on note que la personne mutilante demande à la mutilée de la dédommager FINANCIEREMENT ! Un comble !

Poursuivons la lecture du jugement.

Le premier expert reconnaît tout de même qu'une hystéroscopie avec curetage biopsique aurait été préférable. Merci quand même.

Par contre, il différencie l'hyperplasie de l'endomètre et la poussée d'oestrogènes, ce qui semble étonnant. Dommage que la personne mutilante n'ait pas attendu un peu, avant de sortir son bistouri "toxique", le temps de contrôler, au moins une fois, le dosage des oestrogènes; voire effectuer une IRM de contrôle, histoire de voir si la tuméfaction passait de 4 cm à 4,2 cm. Mais non, il faut y aller vite puisqu'il y a suspicion de sarcome utérin, cancer très grave, voire de tumeur ovarienne hypersecrétante, tout aussi mortelle.

Dans de telles conditions affolantes, comment voulez-vous que la future mutilée ne soit pas d'accord pour l'intervention "au plus vite" ?

Le problème est que, si la personne mutilante avait vraiment pensé qu'il y avait cancer utérin et/ou ovarien (pourquoi pas les deux pendant qu'on y est ?), elle aurait pratiqué une coelioscopie.

POURQUOI NE L'A-T-ELLE PAS FAIT ?

Quant à l'affirmation de l'apparition d'un fibrome après la ménopause, elle ne tient pas puisqu'il n'y a jamais eu d'échographie pelvienne chez la future mutilée, avant celle pratiquée début décembre 2005. Nous nous répétons.

Fibrome ou sarcome, il faudrait savoir ! 

Le juge considère que l'analyse critique de l'autre chirurgien gynéco-obstétricien, pourtant très claire, ne vaut rien. 

Argument majeur : il utilise le conditionnel ! 

Il est certain que, s'il avait utilisé le présent, le passé ou le futur, cela changeait tout. Ben voyons.

Mais on est où ? En France ? Vraiment ?

Au total, la mutilée doit payer la personne mutilante.

Olé !

Cerise sur le gâteau :



Où l'on voit que l'avocate (une femme) de la mutilée envoie à la mutilée une facture signée de l'avocat (un homme) de la partie adverse. Sic.

Où l'on commence à suspecter un coup fourré local, mettant en cause la personne mutilante au comportement tout de même curieux (ancien interne des Hôpitaux de Paris ne pratiquant pas de coelioscopie en per-opératoire), l'expert nommé par le tribunal local et exerçant dans une autre région, les deux cabinets d'avocats locaux, et le juge local.

La mutilée a fait appel, bien entendu.

A bientôt car ...
... A SUIVRE ...


(Florilège d'artifices mensongers ? ...).

N.B. Je crois que, si l'on veut tuer son père, on l'accuse de la peste. Demandez à Alexandre !


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