mercredi 3 août 2022

Honte à toi, ma mère !

 

Hendaye, août 2014.

 

Honte à toi, ma mère, qui m'a martyrisée alors que je n'étais pas encore née.

Honte à toi, ma mère, toi qui fis une dépression nerveuse alors que tu étais enceinte de moi en 1949-1950.

Merci pour le cadeau des influx dépressifs que tu m'as envoyés, alors que j'étais ton foetus in utero, foetus que tu détestais déjà.

Honte à toi, ma mère, qui accepta de subir et me faire subir plusieurs électrochocs à visée psychiatrique sous anesthésie générale alors que, sage-femme, tu savais pertinemment ce que tu me faisais vivre, à moi ton foetus, que tu haïssais tant.

Merci pour le cadeau des narcoses + électrochocs que tu m'as envoyés, alors que j'étais ton foetus in utero.

 

Honte à toi, ma mère maltraitante !

 

Ah les apparences trompeuses !

 

Et cela a continué.

Alors que j'avais 14 ans, tu es partie à Paris, abandonnant tes deux enfants.

Heureusement, ma "mamé GOUINGUENET" est venue te remplacer à Coutances, laissant son confort rouennais pour venir secourir son fils et ses filles, TES filles.

 

Honte à toi, ma mère indigne !

 

Et cela a continué.

Tu as tout fait pour ne pas me recueillir pour que je fasse ma médecine à tes côtés.

Là encore, c'est ma "mamé GOUINGUENET" qui a fait le boulot, TON boulot. 


Hendaye, août 2014.

 

Et cela a continué.

Alors que je venais de m'installer à Pau, enfin loin des maltraitances familiales, me pensant libérée de ton cordon ombilical vénéneux, tu es venue t'imposer, m'obligeant à te trouver une maison alors que j'étais en plein travail d'installation.

 

Honte à toi, ma mère toxique !

 

Et cela a continué.

Alors que je décompensais très gravement un burn-out le 3 août 2003 (merci à mon si solide ange gardien, en ce jour anniversaire de ma re-naissance !), à tes côtés, tu m'envoyais un nouveau coup de poignard en effectuant un testament en ma défaveur, alors que j'étais hospitalisée tout près de toi et que tu ne venais même pas me voir. 

Voici ton testament ordurier, daté du 19 août 2003, alors que je suis hospitalisée pour suicide du fait d'un épuisement professionnel, et que ton époux est à quelques mois de son décès (le 11 juillet 2004) :

Sur ce bordereau de pièces, il est noté que ce testament est daté du 19 août 2003.

Tu écris :

"Je soussignée Cécile Anquetin épouse Magne, domiciliée : Résidence de France, Bâtiment "Normandie", 7 Avenue du Général de Gaulle à Pau 64000.

Je veux que mon mari Magne Maxime, s'il me survit, lui soit laissée la jouissance de mon dupleix : Résidence de France "Normandie" et tout ce qu'il y a dedans, jusqu'à sa mort et à la condition expresse qu'il reste vivre dans le dit dupleix "Normandie".

Etant donnés les moyens dont dispose mon mari, Magne Maxime, si je décède avant lui, je le déshérite du quart de mes revenus, auquel il pourrait prétendre.

Je donne à ma fille Anne Gouinguenet, née le 8 mai 1947, la quotité disponible de mon patrimoine que je laisse à mon décès.

Dans la part d'héritage venant à ma fille Agnès Gouinguenet née le 23 avril 1950, je veux qu'en priorité lui revienne l'appartement qu'elle occupe au rez de chaussée etc ...".


 

Non contente de taper sur ton mari, qui t'a entretenue pendant des dizaines d'années, tu me tapes dessus alors que je suis à terre.

Avouons que la bénéficiaire de ce testament, que nous pouvons considérer comme un testament nazi, tellement il s'acharne sur des affaiblis (un très vieil homme à quelques mois de sa mort et une fille à terre) ... est de la même veine que toi.

 

Honte à toi, mère maltraitante, injuste, indigne, toxique !

 

Pour le "fun", je mets une lettre que tu as écrite au fisc de Pau, en 2011, où tu mens, tu mens, tu mens, tout en continuant à taper sur les enfants et petits-enfants de ton mari (tu ne peux plus taper sur lui car il est décédé) et sur moi

 

Où tu oses écrire que tu possèdes "un petit immeuble donné par ma soeur à son décès, pensant selon elle que je n'avais rien à attendre de mon 2ème mari (45 ans de mariage !) car ses enfants, que j'ai oh ! combien reçus, tenaient à ce que tout leur revienne, ce qui fut fait". 

Un "petit" immeuble de 5 appartements ?

Et le duplex de Pau, que ton mari a acheté à ton nom, spoliant ainsi ses petits-enfants, tu l'oublies ?

Et tu continues : " ... et mes deux filles de mon premier mariage sont seules et se reposent encore fortement sur moi".

Dis-moi, mère menteuse, tu me donnais combien de centimes depuis fin 2006 ? Pas un centime d'euro ! 

 

HONTE à toi, ma mère !

HONTE à toi, ma mère !

HONTE à toi, ma mère !

 

Comment ai-je fait pour me sortir de ta haine obsessionnelle compulsive à mon égard ?  

Comment ai-je fait pour réussir à faire des études correctes et avoir un métier digne, donc une retraite ? 

Comment ai-je fait pour te recueillir à la fin de tes jours, te protéger de ta descendance tant semblable à toi, te donner à manger alors que tu étais si essoufflée par ton anémie ?

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Parce que je ne suis pas "de ton côté génétique".

Parce que je suis du côté GOUINGUENET-LE MAOUT.

Parce que je suis du côté de mon père, dont tu disais tant de mal, et qui a recueilli tes propres parents à Coutances, alors qu'ils étaient ruinés et sans un sou, rejetés par ta grande soeur et tes grands frères (et l'on comprend pourquoi !).

J'ai résisté à tous tes coups, in et extra utero, parce que j'ai la chance de ne pas te ressembler. 

 

Merci à mon papa, merci à mon papé et à ma mamé, merci à ma tante Anne BERNARD et à son adorable époux, merci à mes ancêtres GOUINGUENET-LE MAOUT.

Honte à toi, ma mère maltraitante, injuste, menteuse, massacreuse d'affaiblis, égoïste, ne pensant qu'à son paraître, telle une narcisse perverse.


Ta fille Agnès, qui ne te hait point, mais.

 

Ce 21 août 2014, à Hendaye, tu étais encore une boule de haine hystérique à mon égard.

 

Ai-je réussi à te donner un semblant d'humanisme ? Pas sûr, car il ne faut jamais se fier aux apparences.


Merci à toi, belle Isha, car tu m'as tant aidée !

Promis, je prépare tes croquettes de ce pas.

 

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