mardi 16 août 2011

EUTHANASIE, HERITAGE, ET CAETERA ...

Tombe de l'un de mes ancêtres.


Les moyens et la fin.


Un pauvre miséreux, de guenilles vêtu,
Par les ans alourdi, de folles faims fourbu,
N'ayant de toit certain, que le ciel de la rue,
Terminait lentement sa solitude émue.


Paré d'ors et diamants, de luxe étincelant,
Un nanti parvenu, sa fortune étalant,
Promenait son avoir, solide et éclatant,
Aimé de nombreux gens, ses écus promettant.


L'espace de l'éclair, un orage éclata,
Brutale et insensée, la foudre se brisa,
Stoppant de l'argenté, la course enluminée,
Et de l'infortuné, la sombre destinée.


Brûlés de mille feux, souffrant à en mourir,
Les deux humains blessés, ne pouvaient que gémir,
De leurs douleurs inouïes, imploraient d'en finir,
Et suppliaient l'arrêt de tout leur à venir.


N'ayant point d'héritage, le sans-biens trépassa,
Car à son triste sort, très vite on le laissa,
Pour mieux se partager, du riche les dorures,
On le réanima, prolongeant ses tortures.


Moralité : 

Qui trop veut amasser, perd la félicité,
Du choix de son trépas, la douce liberté.


Billère, le 16 août 2011.
Agnès Gouinguenet. 


Pas mal comme pierre tombale ...


A SUIVRE ...

mercredi 10 août 2011

CRISE FINANCIERE ET SPIRITUALITE.

Antiquité plus récente que les hiéroglyphes.

Bonjour mes ami(e)s.

Ah ! Mais les JMJ-(C) (Journées Mondiales de la Jeunesse-Chrétienno-catholique) se rapprochent à grands pas de l'Espagne  (... franquiste ?).

Y verrons-nous de jeunes somalien(ne)s ? A moins que la Corne de l'Afrique ne fasse pas partie du même "monde" ?

Avez-vous lu "Le Canard enchaîné" paru hier, 10 août 2011 ? Si non, alors allez vite dans votre point presse écrite le plus proche. Car en page 4, nous y trouvons un article édifiant concernant les rapports ambigus entre une certaine médecine, normalement oblative, et l'argent; sur fond de virginité moralisatrice, ben voyons.

Au moment où j'habitais à Strasbourg, je suis allée à un Colloque sur "Le don d'organe", organisé par la dame dont il est question dans l'article sus-cité. Franc-Maçonnerie et religions furent invitées pour évoquer la mort, l'euthanasie, le don d'une mort pour permettre à une autre vie de s'épanouir, tous sujets fort passionnants (à propos, au moment de l'accouchement, quand il y a risque létal pour la donneuse et le futur don, on choisit la vie de "qui" ? Vive l'utérus artificiel, pour ne plus répondre à des questions si embarrassantes). 

La dite dame représentait le Christianisme. Quelle ne fut ma surprise quand je vis, placardé sur grand écran et au moment de son intervention, un "poster" de PIE XII ! Je n'ai rien dit, pas correction, car cette "demoiselle" (que j'avais eu comme professeur, très brièvement car je m'étais enfuie dare-dare, en démissionnant de la Faculté de Théologie catholique de Strasbourg, véritable arêne avec massacre de la Femme) avait fait beaucoup d'efforts pour l'organisation de ces journées. Mais tout de même, l'oecuménisme en prenait un sérieux coup ! Elle aurait pu, au moins, choisir JEAN XXIII; cela aurait fait plus "bonhomme bonne bouille".

Saviez-vous qu'avant la crise financière actuelle, l'Eglise orthodoxe grecque, colossale fortune, ne payait pas d'impôts à l'Etat grec ?

Quant à la Banque du Vatican, aux énormes magots juifs, protestants, byzantins et arabo-musulmans réunis ...

A bientôt car ...

Et oui, Tu pleures, et il y a de quoi !
A SUIVRE ...



lundi 8 août 2011

DEMI-SOUPIR.

Feue Eosine, partie au Ciel le même
jour que Jean-Paul II ...


CHIEN ET CHAT.


Deux billes brillant bien, espiègles et marron,
Enfouies en un pelage, avant boue blanc cassé,
Formant avec un nez, truffe rebaptisé,
La trine et bonne bouille, d'un canin fanfaron.


Ni discret ni retors, un tantinet bruyant,
Le regard implorant, à souhait racoleur,
Le compagnon de l'homme, en souvent aboyant,
Rappelle au sot bipède, son rang de supérieur.


Guépard en Lilliput, du velours le héraut,
Félinement lové, coussinets aux aguets,
Le chat en un éclair, l'espace d'un sursaut,
Bondit vers le lointain, hors les appâts douillets.


Méprisant les rampants, ignorant le servile,
Préférant se cacher, quand vient l'heure dernière,
Il domine l'humain, de sa démarche fière,
Ne laissant en chemin, nulle aventure vile.


Moralité :

Pauvres hominidés, si souvent prétentieux,
Des bêtes nous devons, conserver le précieux.


Billère, le 8 août 2011.
Agnès Gouinguenet. 

Promis, juré, je n'ai plus la télé !

mercredi 3 août 2011

CONDUITE A TENIR DEVANT UNE CRISE AIGUE D'ADDICTION ?

Nourriture terrestre ?

Bonjour mes ami(e)s.

Afin d'étayer mon message précédent, je vous conte une histoire vécue.

Durant l'un de mes séjours rue Cler (Paris 7ème), toujours le week-end car Bobby libérait de la place en allant rendre visite à sa famille, nous sommes sorties, ma soeur et moi, avec l'intention d'acheter quelques douceurs dominicales dans la pâtisserie la plus proche, au coin de la rue Saint Dominique.

Quelle ne fut ma surprise en découvrant qu'Anne se mit à engloutir gâteaux après gâteaux, allant même derrière le comptoir pour se faciliter la tâche; la pâtissière (ou son employée), apparemment habituée à ce comportement sororal, notait sur un papier toutes les disparitions (j'invente mais il fallait qu'elle fasse des comptes exacts : Eclairs au chocolat = 4, Paris-Brest = 3, Religieuses = 5, Babas au Rhum = 5 etc ...). Paiement différé (non dénué de risque, semble-t-il).
Une fois l'estomac dilaté comme un utérus à terme, la libération rapide par vomissement ne se faisait pas attendre, remettant le compteur de la faim à zéro; et cela pouvait repartir ... D'ailleurs, heureusement que tout ce fatras ne restait pas dans le corps de mon aînée, car ses artères se seraient vite obstruées par un athérome couleur crème Chantilly. Que de souffrance et de vide affectif à supprimer en urgence; aucun jugement de ma part, bien sûr. Personnellement, j'ai comblé les mêmes carences abyssales en fumant, picolant, et bossant "à en mourir"; chacun ses drogues.

Mon mari était un grand alcoolique; il en est mort. Et les bistrotiers lui servaient à boire jusqu'à en appeler les pompiers. Paiement cash. 

Que penser de ceux(celles) qui alimentent et/ou abreuvent les faux(fausses) affâmé(e)s et/ou assoiffé(e)s, pour encaisser la monnaie ?

Existe-t-il une déontologie chez les commerçant(e)s de bouche ?
Et si non, ne faudrait-il point définir un attitude éthique chez les marchands de substances potentiellement mortelles pour l'être humain ?

Mais alors, me direz-vous, et les grandes surfaces ?

Tout à fait d'accord ! Paradoxe inouï d'une surconsommation induite sciemment par cupidité, et d'une prévention médicale acharnée, essayant de diminuer le trou de la Sécu, souvent du aux conséquences de pathologies de "surcharge".

Alcool et tabac, j'ai donné aussi ... et arrêté à temps. Que d'économies libératrices; et quel pied de nez aux marchands de mort humaine massive, pourtant non guerrière !

A bientôt car ...

Miam, miam !


A SUIVRE ...



 


lundi 1 août 2011

NOUVEL ACHARNEMENT.

Des lois, oui, mais pour quelle Justice ?


Bonjour mes ami(e)s.

Mon papa Charlick étant domicilié désormais tout près de moi à Billère (64), j'ai demandé à assumer sa tutelle, ce qui me paraît le bon sens.

Je fus donc "entendue" par le Juge des Tutelles près le Tribunal d'instance de Pau, Monsieur Charles Magnin.

Ma soeur également, qui fit un voyage éclair à Pau, il y a quelques jours (j'avais donc deviné ...).

Et comme je suis une fille ingrate et non-aimante concernant mon papa, voilà le jugement de ce Monsieur Magnin :


Le plus surprenant dans l'histoire est que ma soeur Anne Gouinguenet bénéficie de 400 euros mensuels nets d'impôts, versés par la Tutelle, et pas moi.




Ai-je moins besoin de 400 euros mensuels que ma soeur ?

Pensez-vous que je sois en droit de demander à mon aînée de participer au paiement de la lessive que j'achète régulièrement pour laver les affaires de notre papa (2 à 3 machines par semaine) ?

Et vous, qu'en pensez-vous ?

A bientôt car ...

Charlick au Golf d'Artiguelouve,
printemps 2011 :
Mise à prix du moment de bonheur ?


A SUIVRE ...